On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté."
Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."
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On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté."
Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."
Philippe Katerine : "Je préfère être en manque qu’enseveli"
Grazia Daily Cannes : La Bande Originale
26 minutes 41 seconds
6 years ago
Philippe Katerine : "Je préfère être en manque qu’enseveli"
C’est l’histoire de Jerem, rappeur - loser, qui s’installe chez sa grand-mère pour composer son disque, et se laisse convaincre d’acheter un réfrigérateur intelligent, prénommé Yves. Sur papier, le pitch du troisième film de Benoît Forgeard (Gaz de France) commande déjà de laisser place au rire, au surréel, sinon au délire. Un univers parfait pour Philippe Katerine, qui y interprète le manager de Jerem.
Avec nous, il revient sur son nouveau statut d’acteur populaire et de son César du meilleur second rôle masculin pour Le Grand Bain, qui a fait "surtout plaisir à sa maman". Ainsi que sur son travail de préparation pour Yves ; si c’est lui qui a eu l’idée de coller un manteau de fourrure sur le dos de son personnage, il s’est remis à Benoît Forgeard pour travailler son rôle : "on a fait des soirées où l’on écoutait du rap, en présence de frigos." A découvrir à la fraîche, dans toutes les salles le 26 juin.
Grazia Daily Cannes : La Bande Originale
On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté."
Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."