
Dans cet épisode « La prière d’Anne », nous entrons dans le mystère d’une prière qui ouvre les cieux.
Il y a des prières ordinaires, et il y a des prières qui font trembler l’invisible.
Il y a des prières qui montent comme un parfum, et il y a des prières qui se plantent comme une épée dans les cieux.
Anne n’a pas prié pour parler.
Elle n’a pas prié par habitude.
Elle n’a pas prié pour paraître spirituelle.
Anne a prié parce que sa destinée l’appelait.
Moquée par Pénina, brisée dans son cœur, vide dans son ventre, mais vivante dans sa foi, Anne est entrée dans la présence de Dieu comme on entre dans une bataille.
Elle a parlé à Dieu comme on parle quand on n’a plus de plan B.
Elle a versé son âme, elle a déposé sa douleur, elle a présenté son vœu — et le ciel s’est incliné.
Elle a dit :
« Si tu me donnes un fils, je te le rendrai. »
Ce n’était pas seulement une demande.
C’était une alliance.
Et lorsque la prière devient alliance, Dieu ne peut pas rester silencieux.
Cet épisode est un appel.
Un rappel.
Un réveil.
Tu ne peux plus prier à moitié.
Tu ne peux plus frapper timidement.
Tu ne peux plus murmurer quand ta destinée exige que tu cries.
Il est temps de déchirer le ciel.
Il est temps de prier jusqu’à ce que la terre réponde.
Il est temps d’entrer dans la prière qui engendre les miracles, les promesses, les enfants spirituels, les ministères et les saisons nouvelles.
Ce n’est pas une histoire.
C’est une clé.