Les guerres sont des activités atroces, où l’ordre le plus élémentaire des choses est anéanti, où tuer n’est plus un tabou et devient même un devoir encouragé par un état, une entité-nation. Dès lors, les commanditaires des crimes sont différenciés des gangsters puisqu’ils sont officiels, légitimés en quelque sorte. Pourtant le but reste le même : l’appropriation, la domination, l’enrichissement, au prix des larmes et du sang.
Le docteur en politique Dieudonné Wamu Oyatambwe, actif à la VUB et chez WSM, nous rappelle que dans l'Est du Congo, au Nord et au Sud Kivu, une guerre terrible sévit depuis trente ans. Elle a déjà fait sans doute six millions de morts, des victimes militaires, mais surtout civiles, dont le nombre exact est inconnu. Par armes, par malnutrition ou maladies, des milliers de personnes meurent dans une relative indifférence internationale; c'est que cette guerre n'entrave pas trop les trafics de minerais qui nous importent pour nos économies...
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Les guerres sont des activités atroces, où l’ordre le plus élémentaire des choses est anéanti, où tuer n’est plus un tabou et devient même un devoir encouragé par un état, une entité-nation. Dès lors, les commanditaires des crimes sont différenciés des gangsters puisqu’ils sont officiels, légitimés en quelque sorte. Pourtant le but reste le même : l’appropriation, la domination, l’enrichissement, au prix des larmes et du sang.
Le docteur en politique Dieudonné Wamu Oyatambwe, actif à la VUB et chez WSM, nous rappelle que dans l'Est du Congo, au Nord et au Sud Kivu, une guerre terrible sévit depuis trente ans. Elle a déjà fait sans doute six millions de morts, des victimes militaires, mais surtout civiles, dont le nombre exact est inconnu. Par armes, par malnutrition ou maladies, des milliers de personnes meurent dans une relative indifférence internationale; c'est que cette guerre n'entrave pas trop les trafics de minerais qui nous importent pour nos économies...
Benoît Dassy est le secrétaire régional pour la CSC bruxelloise et, à ce titre, il est aussi un observateur privilégié des décisions qui touchent les bruxellois. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la complexité administrative et politique de la capitale belge -et européenne!- n'en aide pas une saine gestion. Cela, c'est en temps normal! Il y a plus de 500 jours maintenant que la région se trouve sans gouvernement et que les négociations entre partis de gauche, de droite, francophones et flamands sont paralysées.
Impasses idéologiques, conflits de personnes, tabous et lignes rouges, "jeux" politiciens, tout semble concourir à empêcher un bon fonctionnement des administrations bruxelloises et, surtout, la mise en oeuvre d'un budget crédible pour faire fonctionner la ville.
Les premières victimes de cet imbroglio sont les travailleurs du non-marchand et, singulièrement, ceux des associations les moins bien loties financièrement, pourtant indispensables aux plus démunis des habitants des dix-neuf communes. En fait, toute l'économie de la région de Bruxelles-capitale est menacée...
La CSC
Les guerres sont des activités atroces, où l’ordre le plus élémentaire des choses est anéanti, où tuer n’est plus un tabou et devient même un devoir encouragé par un état, une entité-nation. Dès lors, les commanditaires des crimes sont différenciés des gangsters puisqu’ils sont officiels, légitimés en quelque sorte. Pourtant le but reste le même : l’appropriation, la domination, l’enrichissement, au prix des larmes et du sang.
Le docteur en politique Dieudonné Wamu Oyatambwe, actif à la VUB et chez WSM, nous rappelle que dans l'Est du Congo, au Nord et au Sud Kivu, une guerre terrible sévit depuis trente ans. Elle a déjà fait sans doute six millions de morts, des victimes militaires, mais surtout civiles, dont le nombre exact est inconnu. Par armes, par malnutrition ou maladies, des milliers de personnes meurent dans une relative indifférence internationale; c'est que cette guerre n'entrave pas trop les trafics de minerais qui nous importent pour nos économies...