
Septième et dernière partie du Horlà la folie du narrateur atteint son paroxysme qui peut être cet être qui lui dévore petit à petit l'âme...
« cette nuit j'ai senti quelqu'un accroupi sur moi et qui sa bouche sur la mienne, buvait ma vie entre mes lèvres » être surnaturel, démon de la folie, le Horlà dévore l'âme de Maupassant avec un réalisme étonnant