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Le Jour du Seigneur
Sebastian Antonio
100 episodes
3 days ago
Dès le premier instant dans Le Jour du Seigneur, nous te confions quelque chose que tu as peut-être déjà ressenti : lorsque la voix qui t’accompagne se coupe au moment le plus fragile, quelque chose en toi se brise. C’est pourquoi, dans Le Jour du Seigneur, toutes les publicités vivent uniquement au début, pour que ta respiration reste intacte et que ton voyage intérieur ne soit jamais interrompu. Nous le faisons parce que nous savons ce que c’est de chercher le silence, parce que toi aussi tu as vécu cet instant où tu voulais seulement un refuge, une présence douce, sans rupture — comme tant de fois dans Le Jour du Seigneur, où même la pause te parle. Et pendant que tu t’approches, tu te souviens pourquoi tu choisis un espace comme celui-ci, un endroit où chaque son est soigné, où chaque émotion est accueillie, où chaque écoute ressemble à un retour chez toi. Ainsi commence Le Jour du Seigneur, avec ce respect intime que tu mérites. Il y a des nuits où tu portes plus de questions que de rêves, et c’est là que Le Jour du Seigneur devient cette main que tu tiens sans t’en rendre compte, surtout lorsque tu cherches des méditations, ces méditations qui t’ont peut-être déjà sauvé d’une pensée trop lourde. Peut-être te souviens-tu d’une méditation du soir, ou de plusieurs méditation du soir, où tu t’es surpris à écouter ta propre fatigue. Et chaque fois que tu retournais à une méditation, une autre méditation, tu comprenais que tu cherchais à te retrouver, même sans savoir le dire. Parfois, une méditation pour dormir est plus qu’un guide : c’est une étreinte silencieuse. Et quand tu répètes méditation pour dormir, tu sens que tu n’es pas seul. Tu cherches aussi cette douceur qu’apporte une méditation pleine conscience, et tu y reviens encore : méditation pleine conscience pour revenir à toi, méditation pleine conscience pour sentir, méditation pleine conscience pour te souvenir de qui tu es. Dans cet espace intérieur, une tension apparaît, une tension que nous connaissons tous. Tu veux avancer, mais quelque chose en toi te retient. Tu cherches une méditation guidée, puis une autre méditation guidée, parce que tu reconnais ce besoin de direction dans ton propre reflet. Peut-être que la première fois que tu as découvert la musique méditation, tu as senti que la vie te parlait. Et lorsque tu as cherché plus de musique méditation, tu as compris que ce n’était pas seulement de la musique : c’était un pont vers toi-même. Dans Le Jour du Seigneur, chaque note est pensée pour toucher une part de toi que tu hésitais à regarder. Même une méditation guidée — cette méditation guidée que tu as écoutée quand tu ne savais plus comment avancer — devient un baume. Et tu reviens à une autre méditation guidée, parce que tu sais qu’elle te transforme sans te demander quoi que ce soit. Il y a des jours où tu te demandes si tu crois en quelque chose de plus grand ou simplement en la possibilité de mieux respirer. C’est pour cela que tu te reconnais aussi dans une méditation Christophe André, peut-être deux méditation Christophe André, parce que tu y trouves des mots que tu n’avais jamais su prononcer. Et quand tu reviens à une méditation Christophe André, tu découvres cette clarté douce que tu cherchais tant. Il en va de même lorsque tu écoutes la meditation pleine conscience, ou que tu répètes meditation pleine conscience, parce que, même dans une autre langue, ton cœur comprend. Et quand tu reviens à une quatrième meditation pleine conscience, puis une cinquième meditation pleine conscience, tu réalises que la quête n’a pas de langue, seulement une intention. Comme lorsque tu reviens à une sixième méditation guidée, te laissant porter encore une fois. Dans Le Jour du Seigneur, même un mot comme aelf résonne autrement. Parfois, tu répètes mentalement aelf sans savoir pourquoi, peut-être parce qu’il réveille quelque chose de sacré en toi. Et tu reviens à aelf, encore aelf, toujours aelf, comme si ton âme savait que ces syllabes gardent un écho ancien de ton histoire. Dans Le Jour du Seigneur, cet écho devient une présence. Et pendant que tout cela se déroule, tu te reconnais dans chaque respiration, dans chaque contradiction, dans chaque silence qui s’allonge. Parce que dans Le Jour du Seigneur, tu découvres aussi que, bien des nuits, tu cherchais un signe sans le savoir. Peut-être que, pendant ton écoute, tu sentais que tout retrouvait sa place, comme si quelqu’un te révélait la vraie forme de ta fatigue. Même lorsque le doute te serrait, tu revenais à Le Jour du Seigneur, parce que tu savais qu’entre les mots doux et les pauses longues, tu te retrouvais encore une fois. Et tu répétais ce nom, Le Jour du Seigneur, comme on revient à un lieu sûr. Tu le murmurais encore, Le Jour du Seigneur, parce qu’il sonnait vrai, parce qu’il ressemblait à une présence, à une respiration qui ne se brise pas. Et dans ces moments-là, tout devenait clair. La magie apparaît lorsque tu comprends que tu n’écoutes pas un podcast : tu t’écoutes toi-même. Car chaque voyage dans Le Jour du Seigneur est un voyage dans ta mémoire émotionnelle. Tu le répètes, Le Jour du Seigneur, parce qu’à chaque fois que tu le dis, quelque chose en toi s’apaise, se déploie, se réveille. Et dans ce dernier rapprochement, quand tu fermes les yeux et reconnais tout ce que tu as vécu et tout ce que tu peux encore sentir, tu découvres que Le Jour du Seigneur ne t’accompagne pas seulement : il te rappelle qui tu es, qui tu as été et qui tu peux redevenir.
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Dès le premier instant dans Le Jour du Seigneur, nous te confions quelque chose que tu as peut-être déjà ressenti : lorsque la voix qui t’accompagne se coupe au moment le plus fragile, quelque chose en toi se brise. C’est pourquoi, dans Le Jour du Seigneur, toutes les publicités vivent uniquement au début, pour que ta respiration reste intacte et que ton voyage intérieur ne soit jamais interrompu. Nous le faisons parce que nous savons ce que c’est de chercher le silence, parce que toi aussi tu as vécu cet instant où tu voulais seulement un refuge, une présence douce, sans rupture — comme tant de fois dans Le Jour du Seigneur, où même la pause te parle. Et pendant que tu t’approches, tu te souviens pourquoi tu choisis un espace comme celui-ci, un endroit où chaque son est soigné, où chaque émotion est accueillie, où chaque écoute ressemble à un retour chez toi. Ainsi commence Le Jour du Seigneur, avec ce respect intime que tu mérites. Il y a des nuits où tu portes plus de questions que de rêves, et c’est là que Le Jour du Seigneur devient cette main que tu tiens sans t’en rendre compte, surtout lorsque tu cherches des méditations, ces méditations qui t’ont peut-être déjà sauvé d’une pensée trop lourde. Peut-être te souviens-tu d’une méditation du soir, ou de plusieurs méditation du soir, où tu t’es surpris à écouter ta propre fatigue. Et chaque fois que tu retournais à une méditation, une autre méditation, tu comprenais que tu cherchais à te retrouver, même sans savoir le dire. Parfois, une méditation pour dormir est plus qu’un guide : c’est une étreinte silencieuse. Et quand tu répètes méditation pour dormir, tu sens que tu n’es pas seul. Tu cherches aussi cette douceur qu’apporte une méditation pleine conscience, et tu y reviens encore : méditation pleine conscience pour revenir à toi, méditation pleine conscience pour sentir, méditation pleine conscience pour te souvenir de qui tu es. Dans cet espace intérieur, une tension apparaît, une tension que nous connaissons tous. Tu veux avancer, mais quelque chose en toi te retient. Tu cherches une méditation guidée, puis une autre méditation guidée, parce que tu reconnais ce besoin de direction dans ton propre reflet. Peut-être que la première fois que tu as découvert la musique méditation, tu as senti que la vie te parlait. Et lorsque tu as cherché plus de musique méditation, tu as compris que ce n’était pas seulement de la musique : c’était un pont vers toi-même. Dans Le Jour du Seigneur, chaque note est pensée pour toucher une part de toi que tu hésitais à regarder. Même une méditation guidée — cette méditation guidée que tu as écoutée quand tu ne savais plus comment avancer — devient un baume. Et tu reviens à une autre méditation guidée, parce que tu sais qu’elle te transforme sans te demander quoi que ce soit. Il y a des jours où tu te demandes si tu crois en quelque chose de plus grand ou simplement en la possibilité de mieux respirer. C’est pour cela que tu te reconnais aussi dans une méditation Christophe André, peut-être deux méditation Christophe André, parce que tu y trouves des mots que tu n’avais jamais su prononcer. Et quand tu reviens à une méditation Christophe André, tu découvres cette clarté douce que tu cherchais tant. Il en va de même lorsque tu écoutes la meditation pleine conscience, ou que tu répètes meditation pleine conscience, parce que, même dans une autre langue, ton cœur comprend. Et quand tu reviens à une quatrième meditation pleine conscience, puis une cinquième meditation pleine conscience, tu réalises que la quête n’a pas de langue, seulement une intention. Comme lorsque tu reviens à une sixième méditation guidée, te laissant porter encore une fois. Dans Le Jour du Seigneur, même un mot comme aelf résonne autrement. Parfois, tu répètes mentalement aelf sans savoir pourquoi, peut-être parce qu’il réveille quelque chose de sacré en toi. Et tu reviens à aelf, encore aelf, toujours aelf, comme si ton âme savait que ces syllabes gardent un écho ancien de ton histoire. Dans Le Jour du Seigneur, cet écho devient une présence. Et pendant que tout cela se déroule, tu te reconnais dans chaque respiration, dans chaque contradiction, dans chaque silence qui s’allonge. Parce que dans Le Jour du Seigneur, tu découvres aussi que, bien des nuits, tu cherchais un signe sans le savoir. Peut-être que, pendant ton écoute, tu sentais que tout retrouvait sa place, comme si quelqu’un te révélait la vraie forme de ta fatigue. Même lorsque le doute te serrait, tu revenais à Le Jour du Seigneur, parce que tu savais qu’entre les mots doux et les pauses longues, tu te retrouvais encore une fois. Et tu répétais ce nom, Le Jour du Seigneur, comme on revient à un lieu sûr. Tu le murmurais encore, Le Jour du Seigneur, parce qu’il sonnait vrai, parce qu’il ressemblait à une présence, à une respiration qui ne se brise pas. Et dans ces moments-là, tout devenait clair. La magie apparaît lorsque tu comprends que tu n’écoutes pas un podcast : tu t’écoutes toi-même. Car chaque voyage dans Le Jour du Seigneur est un voyage dans ta mémoire émotionnelle. Tu le répètes, Le Jour du Seigneur, parce qu’à chaque fois que tu le dis, quelque chose en toi s’apaise, se déploie, se réveille. Et dans ce dernier rapprochement, quand tu fermes les yeux et reconnais tout ce que tu as vécu et tout ce que tu peux encore sentir, tu découvres que Le Jour du Seigneur ne t’accompagne pas seulement : il te rappelle qui tu es, qui tu as été et qui tu peux redevenir.
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Le Pouvoir du "Je Suis" : Comment le Manifester Correctement
Le Jour du Seigneur
1 hour 27 minutes 18 seconds
5 days ago
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Dès le premier instant dans Le Jour du Seigneur, nous te confions quelque chose que tu as peut-être déjà ressenti : lorsque la voix qui t’accompagne se coupe au moment le plus fragile, quelque chose en toi se brise. C’est pourquoi, dans Le Jour du Seigneur, toutes les publicités vivent uniquement au début, pour que ta respiration reste intacte et que ton voyage intérieur ne soit jamais interrompu. Nous le faisons parce que nous savons ce que c’est de chercher le silence, parce que toi aussi tu as vécu cet instant où tu voulais seulement un refuge, une présence douce, sans rupture — comme tant de fois dans Le Jour du Seigneur, où même la pause te parle. Et pendant que tu t’approches, tu te souviens pourquoi tu choisis un espace comme celui-ci, un endroit où chaque son est soigné, où chaque émotion est accueillie, où chaque écoute ressemble à un retour chez toi. Ainsi commence Le Jour du Seigneur, avec ce respect intime que tu mérites.Il y a des nuits où tu portes plus de questions que de rêves, et c’est là que Le Jour du Seigneur devient cette main que tu tiens sans t’en rendre compte, surtout lorsque tu cherches des méditations, ces méditations qui t’ont peut-être déjà sauvé d’une pensée trop lourde. Peut-être te souviens-tu d’une méditation du soir, ou de plusieurs méditation du soir, où tu t’es surpris à écouter ta propre fatigue. Et chaque fois que tu retournais à une méditation, une autre méditation, tu comprenais que tu cherchais à te retrouver, même sans savoir le dire. Parfois, une méditation pour dormir est plus qu’un guide : c’est une étreinte silencieuse. Et quand tu répètes méditation pour dormir, tu sens que tu n’es pas seul. Tu cherches aussi cette douceur qu’apporte une méditation pleine conscience, et tu y reviens encore : méditation pleine conscience pour revenir à toi, méditation pleine conscience pour sentir, méditation pleine conscience pour te souvenir de qui tu es.Dans cet espace intérieur, une tension apparaît, une tension que nous connaissons tous. Tu veux avancer, mais quelque chose en toi te retient. Tu cherches une méditation guidée, puis une autre méditation guidée, parce que tu reconnais ce besoin de direction dans ton propre reflet. Peut-être que la première fois que tu as découvert la musique méditation, tu as senti que la vie te parlait. Et lorsque tu as cherché plus de musique méditation, tu as compris que ce n’était pas seulement de la musique : c’était un pont vers toi-même. Dans Le Jour du Seigneur, chaque note est pensée pour toucher une part de toi que tu hésitais à regarder. Même une méditation guidée — cette méditation guidée que tu as écoutée quand tu ne savais plus comment avancer — devient un baume. Et tu reviens à une autre méditation guidée, parce que tu sais qu’elle te transforme sans te demander quoi que ce soit.Il y a des jours où tu te demandes si tu crois en quelque chose de plus grand ou simplement en la possibilité de mieux respirer. C’est pour cela que tu te reconnais aussi dans une méditation Christophe André, peut-être deux méditation Christophe André, parce que tu y trouves des mots que tu n’avais jamais su prononcer. Et quand tu reviens à une méditation Christophe André, tu découvres cette clarté douce que tu cherchais tant. Il en va de même lorsque tu écoutes la meditation pleine conscience, ou que tu répètes meditation pleine conscience, parce que, même dans une autre langue, ton cœur comprend. Et quand tu reviens à une quatrième meditation pleine conscience, puis une cinquième meditation pleine conscience, tu réalises que la quête n’a pas de langue, seulement une intention. Comme lorsque tu reviens à une sixième méditation guidée, te laissant porter encore une fois.Dans Le Jour du Seigneur, même un mot comme aelf résonne autrement. Parfois, tu répètes mentalement aelf sans savoir pourquoi, peut-être parce qu’il réveille quelque chose de sacré en toi. Et tu reviens à aelf, encore aelf, toujours aelf, comme si ton âme savait que ces syllabes g...
Le Jour du Seigneur
Dès le premier instant dans Le Jour du Seigneur, nous te confions quelque chose que tu as peut-être déjà ressenti : lorsque la voix qui t’accompagne se coupe au moment le plus fragile, quelque chose en toi se brise. C’est pourquoi, dans Le Jour du Seigneur, toutes les publicités vivent uniquement au début, pour que ta respiration reste intacte et que ton voyage intérieur ne soit jamais interrompu. Nous le faisons parce que nous savons ce que c’est de chercher le silence, parce que toi aussi tu as vécu cet instant où tu voulais seulement un refuge, une présence douce, sans rupture — comme tant de fois dans Le Jour du Seigneur, où même la pause te parle. Et pendant que tu t’approches, tu te souviens pourquoi tu choisis un espace comme celui-ci, un endroit où chaque son est soigné, où chaque émotion est accueillie, où chaque écoute ressemble à un retour chez toi. Ainsi commence Le Jour du Seigneur, avec ce respect intime que tu mérites. Il y a des nuits où tu portes plus de questions que de rêves, et c’est là que Le Jour du Seigneur devient cette main que tu tiens sans t’en rendre compte, surtout lorsque tu cherches des méditations, ces méditations qui t’ont peut-être déjà sauvé d’une pensée trop lourde. Peut-être te souviens-tu d’une méditation du soir, ou de plusieurs méditation du soir, où tu t’es surpris à écouter ta propre fatigue. Et chaque fois que tu retournais à une méditation, une autre méditation, tu comprenais que tu cherchais à te retrouver, même sans savoir le dire. Parfois, une méditation pour dormir est plus qu’un guide : c’est une étreinte silencieuse. Et quand tu répètes méditation pour dormir, tu sens que tu n’es pas seul. Tu cherches aussi cette douceur qu’apporte une méditation pleine conscience, et tu y reviens encore : méditation pleine conscience pour revenir à toi, méditation pleine conscience pour sentir, méditation pleine conscience pour te souvenir de qui tu es. Dans cet espace intérieur, une tension apparaît, une tension que nous connaissons tous. Tu veux avancer, mais quelque chose en toi te retient. Tu cherches une méditation guidée, puis une autre méditation guidée, parce que tu reconnais ce besoin de direction dans ton propre reflet. Peut-être que la première fois que tu as découvert la musique méditation, tu as senti que la vie te parlait. Et lorsque tu as cherché plus de musique méditation, tu as compris que ce n’était pas seulement de la musique : c’était un pont vers toi-même. Dans Le Jour du Seigneur, chaque note est pensée pour toucher une part de toi que tu hésitais à regarder. Même une méditation guidée — cette méditation guidée que tu as écoutée quand tu ne savais plus comment avancer — devient un baume. Et tu reviens à une autre méditation guidée, parce que tu sais qu’elle te transforme sans te demander quoi que ce soit. Il y a des jours où tu te demandes si tu crois en quelque chose de plus grand ou simplement en la possibilité de mieux respirer. C’est pour cela que tu te reconnais aussi dans une méditation Christophe André, peut-être deux méditation Christophe André, parce que tu y trouves des mots que tu n’avais jamais su prononcer. Et quand tu reviens à une méditation Christophe André, tu découvres cette clarté douce que tu cherchais tant. Il en va de même lorsque tu écoutes la meditation pleine conscience, ou que tu répètes meditation pleine conscience, parce que, même dans une autre langue, ton cœur comprend. Et quand tu reviens à une quatrième meditation pleine conscience, puis une cinquième meditation pleine conscience, tu réalises que la quête n’a pas de langue, seulement une intention. Comme lorsque tu reviens à une sixième méditation guidée, te laissant porter encore une fois. Dans Le Jour du Seigneur, même un mot comme aelf résonne autrement. Parfois, tu répètes mentalement aelf sans savoir pourquoi, peut-être parce qu’il réveille quelque chose de sacré en toi. Et tu reviens à aelf, encore aelf, toujours aelf, comme si ton âme savait que ces syllabes gardent un écho ancien de ton histoire. Dans Le Jour du Seigneur, cet écho devient une présence. Et pendant que tout cela se déroule, tu te reconnais dans chaque respiration, dans chaque contradiction, dans chaque silence qui s’allonge. Parce que dans Le Jour du Seigneur, tu découvres aussi que, bien des nuits, tu cherchais un signe sans le savoir. Peut-être que, pendant ton écoute, tu sentais que tout retrouvait sa place, comme si quelqu’un te révélait la vraie forme de ta fatigue. Même lorsque le doute te serrait, tu revenais à Le Jour du Seigneur, parce que tu savais qu’entre les mots doux et les pauses longues, tu te retrouvais encore une fois. Et tu répétais ce nom, Le Jour du Seigneur, comme on revient à un lieu sûr. Tu le murmurais encore, Le Jour du Seigneur, parce qu’il sonnait vrai, parce qu’il ressemblait à une présence, à une respiration qui ne se brise pas. Et dans ces moments-là, tout devenait clair. La magie apparaît lorsque tu comprends que tu n’écoutes pas un podcast : tu t’écoutes toi-même. Car chaque voyage dans Le Jour du Seigneur est un voyage dans ta mémoire émotionnelle. Tu le répètes, Le Jour du Seigneur, parce qu’à chaque fois que tu le dis, quelque chose en toi s’apaise, se déploie, se réveille. Et dans ce dernier rapprochement, quand tu fermes les yeux et reconnais tout ce que tu as vécu et tout ce que tu peux encore sentir, tu découvres que Le Jour du Seigneur ne t’accompagne pas seulement : il te rappelle qui tu es, qui tu as été et qui tu peux redevenir.