Renaud devrait avoir une belle année 2026 ! Mais avant, il va devoir gérer quelques soucis.

Oui, alors qu’il célèbre ses 50 ans de carrière, qu’il a annoncé un nouvel album et une nouvelle tournée pour l’année prochaine on apprend que c’est son entourage qui se déchire. Sa fille Lolita est maintenant sa manageuse et apparemment elle ne s’entend pas du tout avec la nouvelle femme du chanteur, Cerise qu’il a épousée il y a un an et demi. Apparemment Lolita craint que son papa ne lui cède le droit moral sur la totalité de ses œuvres et oui on part sur une saga à la Hallyday. Romane Serda, l’ex-compagne de Renaud, partagerait cette inquiétude. Elle dit « Plus personne ne supporte Cerise. Lolita la met de côté, pour elle, c’est juste une dame de compagnie ». L’entourage de Renaud lui aurait même trouvé un petit surnom « Groupama », pour ceux qui ont la ref, c’est une pub avec une certaine Cerise.

« Ce qu’on ne peut éviter, il vaut mieux l’embrasser » Universal respect cet adage à la lettre

Oui c’est un nouveau pavé qui a été jeté dans la marre ces derniers jours. On a appris que le géant de la musique Universal avait trouvé un accord avec Udio pour le lancement en 2026 d’une plateforme de création musicale par IA. Udio, c’est l’une des principales start-ups de musique basée sur l’intelligence artificielle, la concurrente de Suno que vous connaissez peut-être. Cette plateforme « sera alimentée par une technologie d’IA générative formée sur de la musique autorisée et sous licence ». C'est là le point très important, contrairement à l'exception aux droits d’auteurs dont on parle depuis des mois en Grande Bretagne, ici on parle d’une reconnaissance de l’origine des morceaux employés pour nourrir l’IA et donc d’une rétribution des artistes. Cet accord c’est un tournant majeur dans les relations entre l’industrie musicale et les entreprises d’IA, accusées de violation massives de droits d’auteur.

Oui cela paraît inévitable donc il vaut mieux prendre les devants et pactiser avec ce qui semble parfois être l'ennemi. Mais la question d’après c’est quid de la création ? les artistes vont-ils devenir les petites mains des nouvelles génératrices de contenus qui, une fois les droits achetés, pourront nous générer 100,1000, 10000 artistes nouveaux par jour ?