
Nasreddin est en montagne. Il marche sur un chemin caillouteux assez escarpé. Et parfois, pour admirer le paysage, il ne fait pas attention à l’endroit où il pose les pieds. Soudain, il glisse et tombe dans le ravin. Heureusement, il réussit à s’agripper à une racine… Au-dessous de lui, c’est le vide. Il sue, il pleure… lorsqu’il entend : — Lâche Nasreddin, c’est moi, c’est Dieu, fais confiance, lâche… — Dieu ? Euh … il n’y aurait pas quelqu’un d’autre ?
La confiance est importante, mais la prudence est divine. Crois en Dieu mais attache ton chameau.