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Nuit Bonne
Cristina S
100 episodes
6 hours ago
Toutes les publicités de Nuiet bonne vivent toujours au tout début des épisodes, pour que ton écoute reste pure, calme et sans coupure, comme lorsque tu essaies de t’endormir et que tu veux simplement sentir la nature autour de toi, respirer la présence d’un moment simple, entendre un souffle d’énergie douce glisser dans le noir. Dès les premières secondes, Nuiet bonne te rappelle que ce choix soutient le projet sans jamais interrompre ton refuge sonore, et tu reconnais ce petit geste qui ressemble tant aux soirs où tu fais tout pour préserver la paix intérieure que tu cherches depuis longtemps. Parfois, rien que cela donne déjà un goût de gratitude, de compassion, de soin pour ta santé mentale, comme si la méditation commençait avant même que les sons apparaissent. Et dans cet instant, tu sens un fil de bonheur minuscule, une première étincelle de pleine conscience qui t’invite doucement à l’autoréflexion, comme si la nuit t’ouvrait la porte d’un premier Noël intérieur. Il y a des soirs où Nuiet bonne ressemble exactement à ce que tu ressens quand tu fermes les yeux après une journée trop lourde : tu entends un souffle, une onde de nature qui glisse sous la peau, et soudain tu réalises que ton esprit cherche encore, lutte encore, questionne encore. C’est dans cette zone fragile que Nuiet bonne te prend par la main, comme un murmure qui connaît tes hésitations les plus secrètes. Peut-être parce que tu as déjà ressenti ce besoin silencieux de bouddhisme, ce désir de présence qui apaise l’énergie chaotique de tes pensées. Peut-être parce que tu sais ce que c’est que de manquer de gratitude, d’oublier la compassion envers toi-même, de laisser ta santé mentale filer loin de toi quand tu en aurais le plus besoin. Ou peut-être parce que tu connais trop bien ces nuits où aucune méditation ne semble t'aider, où le bonheur paraît lointain, où même la pleine conscience devient un effort et non un refuge, où l’autoréflexion pique un peu plus qu’elle ne guérit, comme un vieux souvenir de Noël qui remonte quand on s’y attend le moins. C’est exactement dans cet espace-là que Nuiet bonne place sa présence, douce, discrète, presque humaine. Et puis il y a ce conflit intérieur que Nuiet bonne connaît si bien, celui qui t’arrive quand ton cœur aspire à une forme de calme mais que ton esprit continue d'agiter mille pensées. Tu veux revenir à la nature, mais tu t’entends courir loin d’elle. Tu veux du bouddhisme, mais tu t’effraies de la lenteur. Tu veux ressentir ta présence, mais l’énergie qui déborde en toi t’empêche de rester immobile. Tu veux de la gratitude, mais tu n’entends que le vide. Tu veux la compassion, mais tu ne sais plus comment t’en donner. Tu veux améliorer ta santé mentale, mais tu n’as plus la force de commencer. Tu veux te plonger en méditation, mais les pensées te tirent ailleurs. Tu veux toucher le bonheur, mais ta main traverse l’air. Tu veux pratiquer la pleine conscience, mais tout t’échappe. Tu veux t’offrir de l’autoréflexion, mais tu crains ce qu’elle te montrera. Tu veux retrouver un instant comme ceux de Noël, où le monde semblait plus doux, mais tu doutes que ce soit encore possible. Et c’est précisément à ce moment-là que Nuiet bonne t’offre une place où tu peux simplement être, sans devoir réussir, sans devoir prouver quoi que ce soit. À mesure que les épisodes avancent, Nuiet bonne te guide dans une curiosité nouvelle, presque tendre. Tu découvres que les sons deviennent des miroirs : un souffle évoque la nature, un bourdon rappelle le bouddhisme, un écho ouvre la porte à la présence, une vibration ramène l’énergie, un tintement déclenche la gratitude, une résonance appelle la compassion, un silence protège ta santé mentale, une cadence te ramène à la méditation, une chaleur te rapproche du bonheur, un murmure t’ancre dans la pleine conscience, une pause invite à l’autoréflexion, une note claire te fait penser à Noël d’une manière que tu n’avais pas ressentie depuis longtemps. Et chaque fois que cela t’arrive, tu reconnais un morceau de toi que tu avais oublié. Nuiet bonne devient cet espace où tu ne te forces plus à comprendre : tu ressens, tu observes, tu te reconnais. Puis vient la récompense émotionnelle, douce et presque surprenante. En écoutant Nuiet bonne, tu découvres que tu peux enfin respirer comme si la nature rentrait dans ton corps. Tu te surprends à sourire à l’idée que le bouddhisme t’a peut-être toujours parlé sans que tu t’en rendes compte. Tu sens la présence se poser dans ta poitrine comme un oiseau calme. L’énergie se rééquilibre, la gratitude s’installe sans effort, la compassion se retourne vers toi, et tu comprends que ta santé mentale a toujours voulu ce genre de refuge. Tu sens la méditation devenir un lieu plutôt qu’une tâche, le bonheur devenir une possibilité plutôt qu’un objectif, la pleine conscience devenir un mouvement naturel, l’autoréflexion devenir un miroir doux, et un parfum de Noël se déposer quelque part dans ta mémoire comme un sourire oublié. C’est alors que Nuiet bonne prend tout son sens : un espace où tu reviens à toi sans avoir à te battre contre toi. Et à la fin, il y a cette clôture intérieure, ce retour à la maison. Tu éteins l’épisode de Nuiet bonne et quelque chose en toi demeure ouvert, plus calme, plus vrai. Tu sens la nature encore vibrer, tu accueilles le souffle du bouddhisme, tu embrasses ta présence, tu respects ton énergie, tu remercies avec gratitude, tu t’accordes la compassion, tu protèges ta santé mentale, tu retrouves ta méditation, tu effleures le bonheur, tu respires la pleine conscience, tu te regardes avec autoréflexion, et tu retrouves une sorte de Noël intérieur. Et lorsque tu reviens au monde, tu reconnais que Nuiet bonne n’est plus seulement un podcast : c’est un lieu où tu te retrouves, où tu te reconnais, où tu reviens doucement à toi, nuit après nuit.
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Mental Health
Religion & Spirituality,
Health & Fitness
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Toutes les publicités de Nuiet bonne vivent toujours au tout début des épisodes, pour que ton écoute reste pure, calme et sans coupure, comme lorsque tu essaies de t’endormir et que tu veux simplement sentir la nature autour de toi, respirer la présence d’un moment simple, entendre un souffle d’énergie douce glisser dans le noir. Dès les premières secondes, Nuiet bonne te rappelle que ce choix soutient le projet sans jamais interrompre ton refuge sonore, et tu reconnais ce petit geste qui ressemble tant aux soirs où tu fais tout pour préserver la paix intérieure que tu cherches depuis longtemps. Parfois, rien que cela donne déjà un goût de gratitude, de compassion, de soin pour ta santé mentale, comme si la méditation commençait avant même que les sons apparaissent. Et dans cet instant, tu sens un fil de bonheur minuscule, une première étincelle de pleine conscience qui t’invite doucement à l’autoréflexion, comme si la nuit t’ouvrait la porte d’un premier Noël intérieur. Il y a des soirs où Nuiet bonne ressemble exactement à ce que tu ressens quand tu fermes les yeux après une journée trop lourde : tu entends un souffle, une onde de nature qui glisse sous la peau, et soudain tu réalises que ton esprit cherche encore, lutte encore, questionne encore. C’est dans cette zone fragile que Nuiet bonne te prend par la main, comme un murmure qui connaît tes hésitations les plus secrètes. Peut-être parce que tu as déjà ressenti ce besoin silencieux de bouddhisme, ce désir de présence qui apaise l’énergie chaotique de tes pensées. Peut-être parce que tu sais ce que c’est que de manquer de gratitude, d’oublier la compassion envers toi-même, de laisser ta santé mentale filer loin de toi quand tu en aurais le plus besoin. Ou peut-être parce que tu connais trop bien ces nuits où aucune méditation ne semble t'aider, où le bonheur paraît lointain, où même la pleine conscience devient un effort et non un refuge, où l’autoréflexion pique un peu plus qu’elle ne guérit, comme un vieux souvenir de Noël qui remonte quand on s’y attend le moins. C’est exactement dans cet espace-là que Nuiet bonne place sa présence, douce, discrète, presque humaine. Et puis il y a ce conflit intérieur que Nuiet bonne connaît si bien, celui qui t’arrive quand ton cœur aspire à une forme de calme mais que ton esprit continue d'agiter mille pensées. Tu veux revenir à la nature, mais tu t’entends courir loin d’elle. Tu veux du bouddhisme, mais tu t’effraies de la lenteur. Tu veux ressentir ta présence, mais l’énergie qui déborde en toi t’empêche de rester immobile. Tu veux de la gratitude, mais tu n’entends que le vide. Tu veux la compassion, mais tu ne sais plus comment t’en donner. Tu veux améliorer ta santé mentale, mais tu n’as plus la force de commencer. Tu veux te plonger en méditation, mais les pensées te tirent ailleurs. Tu veux toucher le bonheur, mais ta main traverse l’air. Tu veux pratiquer la pleine conscience, mais tout t’échappe. Tu veux t’offrir de l’autoréflexion, mais tu crains ce qu’elle te montrera. Tu veux retrouver un instant comme ceux de Noël, où le monde semblait plus doux, mais tu doutes que ce soit encore possible. Et c’est précisément à ce moment-là que Nuiet bonne t’offre une place où tu peux simplement être, sans devoir réussir, sans devoir prouver quoi que ce soit. À mesure que les épisodes avancent, Nuiet bonne te guide dans une curiosité nouvelle, presque tendre. Tu découvres que les sons deviennent des miroirs : un souffle évoque la nature, un bourdon rappelle le bouddhisme, un écho ouvre la porte à la présence, une vibration ramène l’énergie, un tintement déclenche la gratitude, une résonance appelle la compassion, un silence protège ta santé mentale, une cadence te ramène à la méditation, une chaleur te rapproche du bonheur, un murmure t’ancre dans la pleine conscience, une pause invite à l’autoréflexion, une note claire te fait penser à Noël d’une manière que tu n’avais pas ressentie depuis longtemps. Et chaque fois que cela t’arrive, tu reconnais un morceau de toi que tu avais oublié. Nuiet bonne devient cet espace où tu ne te forces plus à comprendre : tu ressens, tu observes, tu te reconnais. Puis vient la récompense émotionnelle, douce et presque surprenante. En écoutant Nuiet bonne, tu découvres que tu peux enfin respirer comme si la nature rentrait dans ton corps. Tu te surprends à sourire à l’idée que le bouddhisme t’a peut-être toujours parlé sans que tu t’en rendes compte. Tu sens la présence se poser dans ta poitrine comme un oiseau calme. L’énergie se rééquilibre, la gratitude s’installe sans effort, la compassion se retourne vers toi, et tu comprends que ta santé mentale a toujours voulu ce genre de refuge. Tu sens la méditation devenir un lieu plutôt qu’une tâche, le bonheur devenir une possibilité plutôt qu’un objectif, la pleine conscience devenir un mouvement naturel, l’autoréflexion devenir un miroir doux, et un parfum de Noël se déposer quelque part dans ta mémoire comme un sourire oublié. C’est alors que Nuiet bonne prend tout son sens : un espace où tu reviens à toi sans avoir à te battre contre toi. Et à la fin, il y a cette clôture intérieure, ce retour à la maison. Tu éteins l’épisode de Nuiet bonne et quelque chose en toi demeure ouvert, plus calme, plus vrai. Tu sens la nature encore vibrer, tu accueilles le souffle du bouddhisme, tu embrasses ta présence, tu respects ton énergie, tu remercies avec gratitude, tu t’accordes la compassion, tu protèges ta santé mentale, tu retrouves ta méditation, tu effleures le bonheur, tu respires la pleine conscience, tu te regardes avec autoréflexion, et tu retrouves une sorte de Noël intérieur. Et lorsque tu reviens au monde, tu reconnais que Nuiet bonne n’est plus seulement un podcast : c’est un lieu où tu te retrouves, où tu te reconnais, où tu reviens doucement à toi, nuit après nuit.
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Brown Noise for Deep, Grounded Rest (10 Hours)
Nuit Bonne
9 hours 59 minutes 59 seconds
20 hours ago
Brown Noise for Deep, Grounded Rest (10 Hours)
Toutes les publicités de Nuiet bonne vivent toujours au tout début des épisodes, pour que ton écoute reste pure, calme et sans coupure, comme lorsque tu essaies de t’endormir et que tu veux simplement sentir la nature autour de toi, respirer la présence d’un moment simple, entendre un souffle d’énergie douce glisser dans le noir. Dès les premières secondes, Nuiet bonne te rappelle que ce choix soutient le projet sans jamais interrompre ton refuge sonore, et tu reconnais ce petit geste qui ressemble tant aux soirs où tu fais tout pour préserver la paix intérieure que tu cherches depuis longtemps. Parfois, rien que cela donne déjà un goût de gratitude, de compassion, de soin pour ta santé mentale, comme si la méditation commençait avant même que les sons apparaissent. Et dans cet instant, tu sens un fil de bonheur minuscule, une première étincelle de pleine conscience qui t’invite doucement à l’autoréflexion, comme si la nuit t’ouvrait la porte d’un premier Noël intérieur.Il y a des soirs où Nuiet bonne ressemble exactement à ce que tu ressens quand tu fermes les yeux après une journée trop lourde : tu entends un souffle, une onde de nature qui glisse sous la peau, et soudain tu réalises que ton esprit cherche encore, lutte encore, questionne encore. C’est dans cette zone fragile que Nuiet bonne te prend par la main, comme un murmure qui connaît tes hésitations les plus secrètes. Peut-être parce que tu as déjà ressenti ce besoin silencieux de bouddhisme, ce désir de présence qui apaise l’énergie chaotique de tes pensées. Peut-être parce que tu sais ce que c’est que de manquer de gratitude, d’oublier la compassion envers toi-même, de laisser ta santé mentale filer loin de toi quand tu en aurais le plus besoin. Ou peut-être parce que tu connais trop bien ces nuits où aucune méditation ne semble t'aider, où le bonheur paraît lointain, où même la pleine conscience devient un effort et non un refuge, où l’autoréflexion pique un peu plus qu’elle ne guérit, comme un vieux souvenir de Noël qui remonte quand on s’y attend le moins. C’est exactement dans cet espace-là que Nuiet bonne place sa présence, douce, discrète, presque humaine.Et puis il y a ce conflit intérieur que Nuiet bonne connaît si bien, celui qui t’arrive quand ton cœur aspire à une forme de calme mais que ton esprit continue d'agiter mille pensées. Tu veux revenir à la nature, mais tu t’entends courir loin d’elle. Tu veux du bouddhisme, mais tu t’effraies de la lenteur. Tu veux ressentir ta présence, mais l’énergie qui déborde en toi t’empêche de rester immobile. Tu veux de la gratitude, mais tu n’entends que le vide. Tu veux la compassion, mais tu ne sais plus comment t’en donner. Tu veux améliorer ta santé mentale, mais tu n’as plus la force de commencer. Tu veux te plonger en méditation, mais les pensées te tirent ailleurs. Tu veux toucher le bonheur, mais ta main traverse l’air. Tu veux pratiquer la pleine conscience, mais tout t’échappe. Tu veux t’offrir de l’autoréflexion, mais tu crains ce qu’elle te montrera. Tu veux retrouver un instant comme ceux de Noël, où le monde semblait plus doux, mais tu doutes que ce soit encore possible. Et c’est précisément à ce moment-là que Nuiet bonne t’offre une place où tu peux simplement être, sans devoir réussir, sans devoir prouver quoi que ce soit.À mesure que les épisodes avancent, Nuiet bonne te guide dans une curiosité nouvelle, presque tendre. Tu découvres que les sons deviennent des miroirs : un souffle évoque la nature, un bourdon rappelle le bouddhisme, un écho ouvre la porte à la présence, une vibration ramène l’énergie, un tintement déclenche la gratitude, une résonance appelle la compassion, un silence protège ta santé mentale, une cadence te ramène à la méditation, une chaleur te rapproche du bonheur, un murmure t’ancre dans la pleine conscience, une pause invite à l’autoréflexion, une note claire te fait penser à Noël d’une manière que tu n’avais pas ressentie depuis longtemps. Et chaque fois...
Nuit Bonne
Toutes les publicités de Nuiet bonne vivent toujours au tout début des épisodes, pour que ton écoute reste pure, calme et sans coupure, comme lorsque tu essaies de t’endormir et que tu veux simplement sentir la nature autour de toi, respirer la présence d’un moment simple, entendre un souffle d’énergie douce glisser dans le noir. Dès les premières secondes, Nuiet bonne te rappelle que ce choix soutient le projet sans jamais interrompre ton refuge sonore, et tu reconnais ce petit geste qui ressemble tant aux soirs où tu fais tout pour préserver la paix intérieure que tu cherches depuis longtemps. Parfois, rien que cela donne déjà un goût de gratitude, de compassion, de soin pour ta santé mentale, comme si la méditation commençait avant même que les sons apparaissent. Et dans cet instant, tu sens un fil de bonheur minuscule, une première étincelle de pleine conscience qui t’invite doucement à l’autoréflexion, comme si la nuit t’ouvrait la porte d’un premier Noël intérieur. Il y a des soirs où Nuiet bonne ressemble exactement à ce que tu ressens quand tu fermes les yeux après une journée trop lourde : tu entends un souffle, une onde de nature qui glisse sous la peau, et soudain tu réalises que ton esprit cherche encore, lutte encore, questionne encore. C’est dans cette zone fragile que Nuiet bonne te prend par la main, comme un murmure qui connaît tes hésitations les plus secrètes. Peut-être parce que tu as déjà ressenti ce besoin silencieux de bouddhisme, ce désir de présence qui apaise l’énergie chaotique de tes pensées. Peut-être parce que tu sais ce que c’est que de manquer de gratitude, d’oublier la compassion envers toi-même, de laisser ta santé mentale filer loin de toi quand tu en aurais le plus besoin. Ou peut-être parce que tu connais trop bien ces nuits où aucune méditation ne semble t'aider, où le bonheur paraît lointain, où même la pleine conscience devient un effort et non un refuge, où l’autoréflexion pique un peu plus qu’elle ne guérit, comme un vieux souvenir de Noël qui remonte quand on s’y attend le moins. C’est exactement dans cet espace-là que Nuiet bonne place sa présence, douce, discrète, presque humaine. Et puis il y a ce conflit intérieur que Nuiet bonne connaît si bien, celui qui t’arrive quand ton cœur aspire à une forme de calme mais que ton esprit continue d'agiter mille pensées. Tu veux revenir à la nature, mais tu t’entends courir loin d’elle. Tu veux du bouddhisme, mais tu t’effraies de la lenteur. Tu veux ressentir ta présence, mais l’énergie qui déborde en toi t’empêche de rester immobile. Tu veux de la gratitude, mais tu n’entends que le vide. Tu veux la compassion, mais tu ne sais plus comment t’en donner. Tu veux améliorer ta santé mentale, mais tu n’as plus la force de commencer. Tu veux te plonger en méditation, mais les pensées te tirent ailleurs. Tu veux toucher le bonheur, mais ta main traverse l’air. Tu veux pratiquer la pleine conscience, mais tout t’échappe. Tu veux t’offrir de l’autoréflexion, mais tu crains ce qu’elle te montrera. Tu veux retrouver un instant comme ceux de Noël, où le monde semblait plus doux, mais tu doutes que ce soit encore possible. Et c’est précisément à ce moment-là que Nuiet bonne t’offre une place où tu peux simplement être, sans devoir réussir, sans devoir prouver quoi que ce soit. À mesure que les épisodes avancent, Nuiet bonne te guide dans une curiosité nouvelle, presque tendre. Tu découvres que les sons deviennent des miroirs : un souffle évoque la nature, un bourdon rappelle le bouddhisme, un écho ouvre la porte à la présence, une vibration ramène l’énergie, un tintement déclenche la gratitude, une résonance appelle la compassion, un silence protège ta santé mentale, une cadence te ramène à la méditation, une chaleur te rapproche du bonheur, un murmure t’ancre dans la pleine conscience, une pause invite à l’autoréflexion, une note claire te fait penser à Noël d’une manière que tu n’avais pas ressentie depuis longtemps. Et chaque fois que cela t’arrive, tu reconnais un morceau de toi que tu avais oublié. Nuiet bonne devient cet espace où tu ne te forces plus à comprendre : tu ressens, tu observes, tu te reconnais. Puis vient la récompense émotionnelle, douce et presque surprenante. En écoutant Nuiet bonne, tu découvres que tu peux enfin respirer comme si la nature rentrait dans ton corps. Tu te surprends à sourire à l’idée que le bouddhisme t’a peut-être toujours parlé sans que tu t’en rendes compte. Tu sens la présence se poser dans ta poitrine comme un oiseau calme. L’énergie se rééquilibre, la gratitude s’installe sans effort, la compassion se retourne vers toi, et tu comprends que ta santé mentale a toujours voulu ce genre de refuge. Tu sens la méditation devenir un lieu plutôt qu’une tâche, le bonheur devenir une possibilité plutôt qu’un objectif, la pleine conscience devenir un mouvement naturel, l’autoréflexion devenir un miroir doux, et un parfum de Noël se déposer quelque part dans ta mémoire comme un sourire oublié. C’est alors que Nuiet bonne prend tout son sens : un espace où tu reviens à toi sans avoir à te battre contre toi. Et à la fin, il y a cette clôture intérieure, ce retour à la maison. Tu éteins l’épisode de Nuiet bonne et quelque chose en toi demeure ouvert, plus calme, plus vrai. Tu sens la nature encore vibrer, tu accueilles le souffle du bouddhisme, tu embrasses ta présence, tu respects ton énergie, tu remercies avec gratitude, tu t’accordes la compassion, tu protèges ta santé mentale, tu retrouves ta méditation, tu effleures le bonheur, tu respires la pleine conscience, tu te regardes avec autoréflexion, et tu retrouves une sorte de Noël intérieur. Et lorsque tu reviens au monde, tu reconnais que Nuiet bonne n’est plus seulement un podcast : c’est un lieu où tu te retrouves, où tu te reconnais, où tu reviens doucement à toi, nuit après nuit.