
Au sixième étage d’un immeuble administratif sans nom, il yavait un bureau. Un bureau banal, à ceci près que le temps, à l’intérieur, n’avançait presque pas. L’homme qui l’occupait s’y rendait chaque matin comme on se rend à un refuge. Assis derrière son bureau vide, il ne faisait pas grand-chose. Parfois, il griffonnait une note, parfois il regardait le grand tableau accroché au mur : une collection d’horloges étranges, récupérées on ne sait où.