Sous les claviers, la plage.
Sous nos claviers, l’envie de montrer qu’on peut travailler autrement.
Ce podcast est notre façon de découvrir des personnes engagées de tous horizons.
On croit qu’il est possible de repenser l’entrepreneuriat, de privilégier la transparence et l’équité, tout en conciliant performance et respect.
CEO, managers, journaliste, ex-politique.
« Doers » comme « thinkers ».
Chaque épisode est une invitation à découvrir l’une d’entre elles.
Parce que sous nos claviers, il y a l’envie de bâtir un monde du travail plus juste et plus humain.
Bienvenue dans « Sous les claviers, la plage ».
Présenté par Laury Maurice et Jonathan Salmona. Réalisé par Roland Richard.
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sous les claviers, la plage.
Sous nos claviers, l’envie de montrer qu’on peut travailler autrement.
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On croit qu’il est possible de repenser l’entrepreneuriat, de privilégier la transparence et l’équité, tout en conciliant performance et respect.
CEO, managers, journaliste, ex-politique.
« Doers » comme « thinkers ».
Chaque épisode est une invitation à découvrir l’une d’entre elles.
Parce que sous nos claviers, il y a l’envie de bâtir un monde du travail plus juste et plus humain.
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Présenté par Laury Maurice et Jonathan Salmona. Réalisé par Roland Richard.
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9 startup sur 10 se plantent. Mais on n’en parle pas.
Paul Charon fait partie des entrepreneurs qui ont fermé leur boîte.
Sauf que lui a choisi d’en parler. Vraiment. Et avec un courage rare.
En 2021, avec Marine Daul-Mernier, il lance Omaj, un projet ambitieux qui facilite l’achat de vêtements de seconde main en gérant toute la logistique.
Une idée forte, une croissance raisonnable, mais ça ne suffit pas.
En 2024, la liquidation judiciaire est prononcée.
Dans cet épisode, Paul revient point par point sur ce qui, selon lui, a conduit Omaj dans le mur.
Une analyse honnête, précieuse, qui manque cruellement dans l’écosystème.
Ce que je retiens de cet échange à 3 avec Jonathan Salmona :
- On ne construit pas une équipe en recrutant des clones de soi. Il faut de la complémentarité, pas de la duplication.
- Certaines décisions doivent être prises en direct, même quand elles sont radicales. Les retarder a un coût.
- La bienveillance ne suffit pas ; il faut aussi du challenge. Sans confrontation constructive, on avance à l’aveugle.
Des levées de fonds à la liquidation, cette rétrospective nous montre une chose :
L’échec, ce n’est pas qu’une fin.
La craindre c’est le meilleur moyen de rester à ne rien faire.
Et qu’il n’y a que les personnes qui ne tentent rien qui ne ratent jamais.
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