
Partage d'un vécu : retrouver l'étincelle que j'avais lorsque j'étais enfant...
Je souriais beaucoup. Je riais. Je dansais. Je courrais.
Je ne me posais pas mille questions.
Un jour, un adulte m'a dit : arrĂȘte de crier, arrĂȘter de pleurer, arrĂȘte de bouger...
Ce qui a participĂ© Ă la formation de mon Syndrome de l'Imposteur đ. Aussi dingue soit-il. Cette voix du "il faut que..." ne m'appartient pas. Celle qui m'appartient c'est celle de la joieâš.