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Chronique économique
RTBF
60 episodes
1 day ago
Amid Faljaoui dans sa chronique économique nous dévoile les coulisses des entreprises et passe en revue les grands événements de l'actualité économique. Le directeur du magazine Trends Tendances nous plonge dans l'univers de la bourse, de la finance, des banques, de la BCE, des crises économiques, de tout ce qui fait l'actualité dans notre société comme les GAFA (Facebook, Amazon, Apple, Google), Elon Musk et Twitter, Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, la Banque européenne, le changement climatique, le cours du pétrole, les conflits, Wall Street, l'inflation, les actionnaires, l'argent, le cours de l'euro et du dollar, la vie des patrons et des salariés, des investisseurs, des politiques, l'Union Européenne, les USA, la Chine, le Brexit, les taux d'intérêts, et encore beaucoup d'autres sujets d'actualité. Il débat également autour du prix de l'électricité et du gaz, de la consommation, de la guerre en Ukraine avec Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine, de la hausse et la baisse du prix de l'essence, du diesel et du pétrole, de l'arrivée des voitures électriques, de la délocalisation des entreprises de l'indexation des salaires, de la morosité des marchés, de Donald Trump et des vaccins, etc. La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours sur Classic 21 à 8h30 dans Coffee on the Rocks et à 17h30 dans On The Road Again. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Amid Faljaoui dans sa chronique économique nous dévoile les coulisses des entreprises et passe en revue les grands événements de l'actualité économique. Le directeur du magazine Trends Tendances nous plonge dans l'univers de la bourse, de la finance, des banques, de la BCE, des crises économiques, de tout ce qui fait l'actualité dans notre société comme les GAFA (Facebook, Amazon, Apple, Google), Elon Musk et Twitter, Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, la Banque européenne, le changement climatique, le cours du pétrole, les conflits, Wall Street, l'inflation, les actionnaires, l'argent, le cours de l'euro et du dollar, la vie des patrons et des salariés, des investisseurs, des politiques, l'Union Européenne, les USA, la Chine, le Brexit, les taux d'intérêts, et encore beaucoup d'autres sujets d'actualité. Il débat également autour du prix de l'électricité et du gaz, de la consommation, de la guerre en Ukraine avec Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine, de la hausse et la baisse du prix de l'essence, du diesel et du pétrole, de l'arrivée des voitures électriques, de la délocalisation des entreprises de l'indexation des salaires, de la morosité des marchés, de Donald Trump et des vaccins, etc. La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours sur Classic 21 à 8h30 dans Coffee on the Rocks et à 17h30 dans On The Road Again. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Episodes (20/60)
Chronique économique
Le gouvernement de Giorgia Meloni en est-il réduit à chercher l'or privé des Italiens ?
L’Italie veut taxer… les colliers de grand-mère. Et cette idée, racontée par le Financial Times, dit bien plus qu’il n’y paraît : elle révèle ce que fait un État quand il n’a plus aucune marge. Pourquoi Rome fouille-t-elle dans les tiroirs des familles ? Et surtout : qu’est-ce que cette histoire italienne dit de la Belgique et de nos propres finances publiques ? Une chronique d’Amid Faljaoui qui parle d’or, mais surtout d’alerte budgétaire. Mots-Clés : milliards d’euros, coffrets à bijoux, pays, Financial Times, ministère italien des Finances, optimiste, théorique, once d’or, record, réserve ultime, épargne de crise, hérité, grands-parents, inflation, dévaluation, la lire, méfiance, banque, réflexe culturel, naissances, communions, mariages, investissement, parachute, John Mauro dell’Olio, mouvement, 5 étoiles, recettes, réserve nationale, monde, États-Unis, Allemand, trou noir, États européens, déficits, croissance, système fiscal, fortune, Londres, Paris, Milan, hype, Europe. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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1 day ago
4 minutes 5 seconds

Chronique économique
Bitcoin : 30% de chute et un seuil symbolique cassé
Une chute de 30 %, un seuil symbolique cassé et un marché qui doute : le Bitcoin vit un moment de vérité. Dans cette chronique, Amid Faljaoui vous explique pourquoi l’actif star des cryptomonnaies décroche alors que l’or et les obligations caracolent en tête. Que se joue-t-il vraiment derrière la tempête crypto ? Ces dernières semaines, le Bitcoin a perdu de son éclat. Depuis le début de l’année, il a dégringolé d’environ 30 %, de quoi commencer à inquiéter les investisseurs crypto. Ce qui choque le plus, c’est la comparaison. Habituellement, on nous promet que le Bitcoin va plus vite, plus haut, plus fort que les autres placements. Or cette année, même les investissements les plus "ennuyeux" — l’or, les obligations ou encore les bons du Trésor américain — font mieux que lui. Le moment clé, c’est le passage sous les 90 000 dollars. Ce seuil est symbolique : 90 000 dollars, c’est le prix moyen payé par ceux qui ont acheté du Bitcoin via les fameux ETF. En tombant en dessous, le Bitcoin a fait basculer l’investisseur moyen dans le rouge. Et quand beaucoup de gens commencent à perdre de l’argent, le moral du marché change très vite. Il faut dire que le Bitcoin avait promis beaucoup : être un refuge contre l’inflation, une protection quand ça secoue, et une valeur indépendante du reste du monde. En 2025, rien de tout cela ne s’est produit. Le 10 octobre dernier, un véritable "mini-crash éclair" a balayé l’équivalent de 19 milliards de dollars. Depuis, la liquidité — c’est-à-dire la facilité d’acheter ou de vendre sans faire bouger les prix — s’est asséchée. Ajoutons une économie mondiale grippée, une Chine qui ralentit, une Asie qui inquiète, des géants technologiques prudents… Dans cette ambiance, la Crypto ne rassure plus. Elle amplifie même l’inquiétude, ce qui est un comble par rapport aux promesses initiales du Bitcoin. Faut-il dire adieu au Bitcoin ? Non. Il a déjà connu des chutes spectaculaires et s’est toujours relevé. Il reste même au-dessus de ses niveaux d’il y a un an. Mais en ce moment, les investisseurs se protègent, se mettent en mode prudence, et les spécialistes estiment qu’il y a moins de 5 % de chance que le Bitcoin retrouve son record de 126 000 dollars avant la fin de l’année. La vraie question n’est donc pas : le Bitcoin va-t-il remonter ? Il remontera probablement un jour, comme il l’a toujours fait. La vraie question est : les gens vont-ils continuer à y croire autant qu’avant ? Car un actif financier peut perdre de la valeur, mais quand il perd sa magie, là… c’est une autre histoire. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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2 days ago
4 minutes 2 seconds

Chronique économique
La vente spectaculaire de Peter Thiel relance le débat sur la bulle IA
Peter Thiel, figure emblématique de la Silicon Valley, vient de céder d'un coup toutes ses actions Nvidia, provoquant une onde de choc sur les marchés financiers. Cette vente spectaculaire soulève immédiatement une question cruciale pour tous les investisseurs, y compris en Belgique : s'agit-il du premier signal d'un éclatement de la bulle de l'intelligence artificielle, ou simplement d'un milliardaire qui encaisse ses gains après une hausse exceptionnelle ? Si la réponse reste incertaine, cette décision intervient dans un contexte de marchés déjà nerveux et relance le débat sur l'avenir des valorisations dans le secteur de l'IA. Peter Thiel n'est pas un investisseur comme les autres. Ce milliardaire a cofondé PayPal avec Elon Musk et financé Facebook très tôt dans son développement. Réputé pour aller à contre-courant et avoir "le nez fin", ses mouvements sur les marchés financiers sont toujours observés avec attention. Sa dernière décision a particulièrement marqué les esprits : il a vendu toutes ses actions Nvidia en une seule fois. Comme Nvidia est aujourd'hui l'entreprise la plus valorisée au monde grâce à l'intelligence artificielle, cette vente a immédiatement créé "une sorte de petit frisson sur les marchés financiers". Malgré l'effet d'annonce, les chiffres révèlent une réalité plus nuancée. Peter Thiel n'a pas agi via un énorme fonds, mais depuis un véhicule d'investissement "assez modeste pour un milliardaire". L'analyse des 900 fonds américains montre que si environ 160 ont vendu des actions Nvidia, pratiquement le même nombre en a racheté. Cette situation est "loin d'un mouvement de panique" et ressemble plutôt à "une sorte de marché qui se rééquilibre". Les données globales contredisent donc l'idée d'une fuite massive des investisseurs face aux valeurs technologiques liées à l'IA. Plusieurs explications pratiques peuvent justifier cette vente : prise de bénéfices, gestion du risque, changement de stratégie ou même raisons fiscales. Rien n'indique que Peter Thiel anticipe une explosion de la bulle de l'intelligence artificielle. Pendant ce temps, Nvidia continue d'enregistrer "une demande énorme pour ses puces d'intelligence artificielle". Les géants Microsoft, Amazon et Google "en commandent toujours plus", et "la dynamique industrielle reste extrêmement forte". Cet épisode illustre "notre tendance collective à surinterpréter chaque geste d'un personnage connu". Parfois, un investisseur vend simplement parce qu'il estime que sa position a suffisamment progressé, sans nécessairement prédire l'avenir du secteur. Pour comprendre les véritables tendances du marché de l'IA, mieux vaut suivre les indicateurs structurels : commandes des géants technologiques, budgets consacrés à l'IA, capacités de production. Ces éléments permettent de "faire la différence entre un signal et du bruit" plutôt que de se focaliser sur les décisions isolées, même celles d'un milliardaire célèbre. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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3 days ago
3 minutes 55 seconds

Chronique économique
Voitures autonomes : quand la communication avance plus vite que la technologie
Vous avez peut-être vu passer ce week-end les articles sur les robots-taxis qui seraient sur le point de changer nos vies… enfin, c'est ce que dit la Silicon Valley. Notre chroniqueur Amid Faljaoui a regardé ce qui se cache derrière cette communication. Et la réalité n'est pas vraiment celle qu'on nous présente. Il nous explique pourquoi. Voitures autonomes, villes fluides, futur libéré des chauffeurs humains : le récit enthousiaste revient régulièrement. Pourtant, la réalité du terrain révèle un fossé important entre les annonces et l'état réel de la technologie. Les chiffres contrastent avec les annonces grandioses. Les fameuses flottes mondiales se limitent à peine 2000 véhicules chez Waymo et quelques centaines chez Uber. À l'échelle des millions de trajets urbains quotidiens, il ne s'agit pas d'une révolution mais plutôt d'un prototype industriel. La promesse d'une sécurité mille fois supérieure à la conduite humaine repose davantage sur des slogans que sur des données vérifiables. Aucune analyse indépendante n'a été réalisée, aucune transparence n'existe sur les interventions humaines nécessaires. Plusieurs accidents suffisamment graves ont d'ailleurs poussé certains opérateurs à suspendre momentanément leurs services. La question du modèle économique reste sans réponse. Les entreprises affirment le chercher, une manière polie de reconnaître qu'elles ne l'ont pas trouvé. Un robotaxi dépasse souvent les 150 000 dollars d'équipement et nécessite une maintenance spécialisée, des recalibrages fréquents, du nettoyage, des stations dédiées et même une supervision humaine permanente. Malgré l'absence théorique de chauffeur, les prix des courses n'ont jamais baissé. Si l'autonomie constituait réellement une révolution en termes de coût, l'effet serait déjà visible sur la facture de l'utilisateur. Ce n'est manifestement pas le cas. L'enthousiasme récurrent pour les robotaxis s'explique par leur fonction qui dépasse le simple transport. Le robotaxi est devenu un outil narratif, permettant d'afficher une avance technologique, de rassurer les investisseurs et de maintenir l'idée que la prochaine grande rupture est imminente. La Silicon Valley comprend que l'apparence d'un futur déjà en marche vaut souvent plus que des résultats tangibles. Les robotaxis finiront par trouver leur place, mais probablement dans des environnements maîtrisés : campus, zones industrielles, navettes aéroportuaires. La fiction d'une flotte urbaine autonome remplaçant l'essentiel de la conduite humaine reste un horizon théorique. La vérité, moins spectaculaire, s'avère plus solide : aujourd'hui, la Silicon Valley ne vend pas encore une révolution de la mobilité, mais surtout l'histoire de cette révolution. Pour l'instant, l'histoire des robotaxis circule beaucoup mieux que les voitures elles-mêmes. Cette réalité invite à une approche plus mesurée face aux promesses technologiques, en privilégiant les faits aux récits marketing. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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4 days ago
3 minutes 56 seconds

Chronique économique
Apple va-t-elle pouvoir se passer des opérateurs grâce aux satellites ?
Le jour où votre iPhone captera dans une zone blanche, vous penserez sûrement que votre opérateur a réalisé un miracle. En réalité, ce ne sera peut-être même pas son réseau, mais un satellite. En effet, Apple travaille sur une messagerie par satellite capable d’envoyer des photos. Dit comme ça, on se dit qu’Apple veut se passer des opérateurs télécom. Les choses sont plus simples et sans doute plus subtiles. D’abord, Apple n’a pas de constellation satellite, elle n’a pas d’antenne. Elle n’a pas de fréquence sur toute la planète et, surtout, aucun intérêt à devenir un opérateur. C’est un métier qui coûte très cher, qui rapporte moins et qui demande des investissements colossaux. Ce n’est pas du tout le modèle d’Apple. Il faut être très clair sur la technologie : le satellite ne remplace pas la 5G. Aujourd’hui, il permet d’envoyer un SOS, demain une photo compressée mais pas de regarder YouTube, ni de passer une heure en visioconférence. C’est donc un filet de sécurité, pas un vrai réseau du quotidien. Pourtant, ce que prépare Apple pourrait changer les choses, mais d’une autre manière : en intégrant l’eSIM, en ajoutant une petite connexion venue du ciel, on va dire, quand le réseau classique ne répond plus. Apple ne cherche pas à supprimer les opérateurs télécom, elle cherche plutôt à reprendre la main sur l’expérience client. Si, demain, votre iPhone capte un minimum partout, même quand votre opérateur télécom préféré décroche, à qui allez-vous attribuer la performance ? À Apple, évidemment ! Résultat, l’opérateur devient un peu moins indispensable dans votre esprit. Il n’est plus celui qui vous connecte, mais celui qui vous connecte quand tout va bien. Et c’est d’ailleurs là que tout se joue. Apple ne veut pas devenir Proximus ou Orange, elle veut que vous dépendiez un peu plus d’elle et un peu moins d’eux. Pour vous, un iPhone plus fiable, plus rassurant, qui marche même quand le réseau manque. Pour les opérateurs, c’est un petit peu moins drôle. Le rôle central glisse doucement vers le téléphone lui-même. La vraie révolution n’est donc pas un iPhone sans opérateur, c’est un iPhone qui a un petit peu moins besoin de ces opérateurs. Et ça, ça suffit déjà à changer l’équilibre du marché. Dans la chronique Amid Faljaoui décortique ce que cela change vraiment pour les consommateurs… et pour les télécoms. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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1 week ago
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Chronique économique
Que se passe-t-il quand une réforme sociale nécessaire rencontre un récit médiatique toxique ?
On en parle beaucoup : un reportage au titre volontairement provocateur "Sans boulot : tous fraudeurs ?" a engendré 39% de parts de marché, un raz-de-marée de réactions et plusieurs plaintes déposées depuis lors auprès du Conseil supérieur de l’audiovisuel. Un succès d’audience donc, mais aussi un révélateur de notre époque. Pendant que le débat public s’enflamme sur la morale, personne ne regarde l’éléphant au milieu de la pièce, c’est-à-dire la logique économique derrière tout cela. Ce reportage ne parle pas seulement de fraude sociale. En réalité, il parle surtout de l’économie de l’indignation. Aujourd’hui, en effet, la télévision (comme d’ailleurs YouTube, Netflix, TikTok) ne vend plus seulement de l’information, elle vend aussi de l’attention. Dans ce marché, la nuance ne rapporte rien. C’est triste à dire, mais ce qui fait grimper les audiences, c’est l’émotion, la colère, le choc, l’indignation. Quelques témoignages extrêmes, une musique dramatique, un montage serré et malin, et hop, notre cerveau s’active. L’indignation déclenche une décharge de dopamine, cette molécule du plaisir qui nous récompense chaque fois qu’on se sent du bon côté. S’indigner, c’est agréable, ça rassure, ça stimule, ça donne l’illusion d’agir. Ce plaisir-là, les chaînes savent même le mesurer. C’est donc le nouveau modèle économique dominant en télévision. Plus d’émotions égale plus d’audience, égale plus de valeur publicitaire. Une équation simple, mais redoutable. Cette économie de l’indignation prospère parce qu’elle s’appuie sur nos biais cognitifs, ces réflexes mentaux qui nous aident à penser vite, mais qui nous font souvent juger faux. Prenons par exemple le biais d’indignation morale : on se sent vertueux quand on juge les autres. Le biais de confirmation ensuite : on retient surtout ce qui nous conforte dans notre opinion. Et puis le biais de représentativité : quelques exemples suffisent pour croire qu’il représente tout un pays, même si le reportage n’a, par définition, aucune valeur scientifique. La télévision ne crée pas nos colères, elle les orchestre. Et nous, spectateurs, on croit réfléchir alors que nous ne faisons que réagir. Le risque c’est qu’à force de jouer avec la colère, on crée une société divisée. Or la confiance c’est un carburant invisible de toute prospérité. Sans elle, il n’y a ni investissement, ni innovation, ni croissance. Aujourd’hui, l’enjeu n’est plus de prouver qu’il fallait agir, mais d’aider ceux qui doivent vivre la réforme à la traverser. Parce que si l’objectif est de remettre les gens au travail, il faut leur tendre la main, pas leur jeter la honte à la figure. Et dans l’économie réelle, comme dans le management, l’humiliation n’a jamais créé de performance. Ce reportage "Sans boulot : tous fraudeurs ?" n’est pas un simple fait d’hiver médiatique, c’est le symptôme d’un système qui transforme l’indignation en business et la division en modèle économique. Mais une société qui passe son temps à s’indigner n’avance pas. Ce qu’il faut maintenant, c’est transformer la colère en mouvement, la défiance en confiance et la réforme en adhésion. Parce qu’une économie ne prospère pas contre les gens, elle prospère avec eux. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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1 week ago
4 minutes 31 seconds

Chronique économique
L'intelligence artificielle envahit la musique : 40 000 titres générés par jour sur les plateformes
Un tiers des chansons publiées chaque jour sur Deezer sont désormais générées par l'IA. Derrière cette avalanche de musique sans musicien ni interprète, c'est tout le modèle du streaming qui vacille. Qui gagne, qui perd et surtout que vaut encore une chanson quand elle n'a plus d'auteur ? C'est l'objet de la chronique économique d'Amid Faljaoui, directeur du magazine Trends-Tendances. Sur Deezer, un tiers des nouveautés sont désormais générées par intelligence artificielle. Cette révolution technologique, qui produit environ 40 000 titres quotidiens sans compositeur ni musicien, bouleverse l'ensemble de l'industrie musicale. Toutes les plateformes de streaming sont concernées par ce phénomène qui remet en question le modèle économique traditionnel et menace directement les revenus des créateurs humains. L'ampleur du phénomène dépasse toutes les prévisions. Ces 40 000 titres quotidiens créés sans intervention humaine représentent une production industrielle sans précédent dans l'histoire de la musique. Spotify a récemment pris des mesures drastiques en supprimant 75 millions de morceaux produits ou générés automatiquement de sa plateforme. Cette invasion artificielle met le modèle économique du streaming sous pression. Les revenus étant partagés entre tous les titres écoutés, l'augmentation massive de morceaux artificiels réduit mécaniquement la part destinée aux artistes humains. Plus il y a de contenus générés par IA, moins il reste d'argent pour rémunérer la création traditionnelle. Selon la Confédération internationale des sociétés d'auteurs et compositeurs, l'intelligence artificielle pourrait représenter 20% des revenus du streaming mondial d'ici 2028. Cette projection alarmante suggère que les créateurs pourraient perdre jusqu'à 4 milliards d'euros par an, fragilisant toute la chaîne musicale : producteurs, éditeurs et interprètes. Un problème plus insidieux encore émerge : la confusion entre création humaine et artificielle. Une étude Ipsos réalisée pour Deezer révèle que 97% des auditeurs sont incapables de distinguer si un morceau est d'origine humaine ou non. Cette indiscernabilité croissante pose une question fondamentale : comment rémunérer équitablement la création quand plus personne ne peut identifier sa source ? Les plateformes y voient plutôt une opportunité : plus de contenu disponible à moindre coût. Cette vision contraste avec les inquiétudes des artistes qui voient leur travail noyé dans un océan de productions automatisées. Face à cette révolution, les grandes maisons de disques tentent de reprendre la main. Universal a signé des partenariats stratégiques avec des startups d'intelligence artificielle comme Stability AI ou Udio. L'objectif est d'encadrer cette nouvelle production et d'éviter ce qui s'apparente à une forme de piratage sonore industrialisé. Ce qui relevait initialement de l'expérimentation artistique devient clairement une activité industrielle. Des milliers de producteurs automatisent désormais la création de chansons spécifiquement pour alimenter les algorithmes des plateformes de streaming. Cette transformation entraîne une explosion de l'offre musicale et, par conséquent, une dévalorisation générale de la musique. L'équilibre économique traditionnel du secteur se trouve profondément modifié : les plateformes gagnent en volume tandis que les artistes perdent en valeur. Le streaming, déjà peu rémunérateur pour les créateurs, risque de l'être encore moins. Cette évolution ne concerne pas seulement l'avenir sonore de la musique, mais aussi la viabilité économique du métier d'artiste dans un monde où l'intelligence artificielle compose, interprète et diffuse sans relâche. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chronique économique
Intelligence artificielle : entre bulle spéculative et révolution industrielle
Hier, un ami d'Amid Faljaoui lui a envoyé un article du magazine Le Point au titre fracassant : "L'homme qui avait prévu la crise de 2008 prédit la chute de l'intelligence artificielle." Amid a voulu comprendre : faut-il vraiment s'inquiéter ? Et c'est en écoutant Jeff Bezos, le patron d'Amazon, qu'il a trouvé la nuance qui change tout. Michael Burry refait surface 17 ans après avoir prévu la crise des subprimes. Ce financier atypique s'attaque cette fois à l'intelligence artificielle. Selon un article du Point, il a parié plus d'un milliard de dollars sur une baisse des cours de géants technologiques comme Nvidia et Palantir. Mais attention aux apparences : Burry n'a pas sorti un milliard de sa poche. Il utilise un instrument financier appelé "option de vente" ou "put", une sorte d'assurance contre la baisse. S'il a raison et que les actions chutent, il gagne de l'argent. S'il se trompe, il ne perd que la prime payée pour cette assurance. Pour Michael Burry, "la fièvre autour de l'intelligence artificielle ressemble dangereusement aux emballements passés". Il dénonce des valorisations trop hautes, trop rapides, et parfois sans lien avec les bénéfices réels des entreprises concernées. Son message est limpide : le marché de l'IA présente tous les signes d'une bulle spéculative prête à éclater. Cette analyse s'appuie sur son expertise reconnue dans la détection des excès financiers, lui qui avait flairé avant tout le monde la crise des subprimes en 2008. Face à cette vision apocalyptique, Jeff Bezos apporte une perspective différente. Lors de l'Italian Tech Week à Turin, le fondateur d'Amazon a défendu une approche plus nuancée. Pour lui, il s'agit d'"une sorte de bulle industrielle, mais pas une bulle financière". Cette distinction est cruciale selon Bezos. Contrairement aux bulles destructrices comme celle des subprimes de 2008, les bulles industrielles laissent derrière elles des infrastructures et des innovations qui profitent à la société. "Ce désordre financier finance aussi de vraies innovations", souligne-t-il, évoquant les puces, logiciels et data centers qui forment les fondations du monde numérique de demain. Au fond, Michael Burry et Jeff Bezos ne se contredisent pas vraiment. Ils observent le même phénomène à deux échelles de temps différentes. Burry se concentre sur le court terme : la spéculation, les excès, la psychologie de marché. Bezos privilégie le long terme : la dynamique industrielle et les innovations qui survivront une fois la poussière retombée. Contrairement à 2008, cette bulle ne menace donc pas le système financier : elle est en train de le transformer. Mots-clés : Christian Bale, film, the big short, pari financier, géant de la tech, John Elkann, progrès, épargnant, long terme --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chronique économique
Elon Musk, l’homme qui transforme le profit en prophétie
75 % des actionnaires de Tesla ont voté hier soir pour offrir à son patron Elon Musk un plan de rémunération de plusieurs milliards de dollars. Pas parce qu'il promet, mais parce qu'il a déjà accompli des miracles. Le vrai produit de Tesla, ce n'est plus la voiture électrique : c'est la croyance, comme nous l'explique Amid Faljaoui, directeur du magazine économique Trends-Tendances. Les actionnaires de Tesla ont approuvé hier soir un plan de rémunération révolutionnaire qui pourrait rapporter jusqu'à 1000 milliards de dollars à Elon Musk sur dix ans. Cette décision historique divise les investisseurs mais témoigne de la confiance accordée au dirigeant pour transformer l'entreprise en empire industriel. Ce plan de rémunération exceptionnel n'est pas un versement immédiat mais un système structuré en 12 paliers sur une décennie. À chaque objectif atteint - niveau de vente, seuil de profit ou cible industrielle - Elon Musk recevra une tranche d'actions de l'entreprise. Pour décrocher le jackpot final, Musk devra transformer Tesla en empire valorisé à 8500 milliards de dollars, contre 1500 milliards actuellement, produire 20 millions de véhicules et développer robots humanoïdes et taxis autonomes. Cette rémunération stratosphérique divise les investisseurs, certains dénonçant un pouvoir sans contrepoids. Pourtant, 75% des actionnaires ont validé ce package, révélant une adhésion qui dépasse l'analyse financière traditionnelle. Cette approbation témoigne d'une croyance en la vision d'Elon Musk, devenu un véritable prophète industriel. Ses entreprises ne vendent plus seulement des produits mais une transformation du monde : Tesla pour l'énergie, SpaceX pour l'espace, Neuralink pour le cerveau. Les réalisations de Musk justifient cette confiance : il a rendu la voiture électrique désirable, révolutionné l'industrie spatiale avec des fusées réutilisables et promet des robots collaboratifs. depuis 20 ans, Elon Musk réussit là où tout le monde disait que c'était impossible. Tesla a évolué au-delà d'une entreprise classique pour devenir une « église du futur » avec ses fidèles et ses miracles industriels. Ce plan à 1000 milliards constitue un pari colossal, mais aussi une récompense pour un homme qui a déjà déplacé les frontières du possible. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chronique économique
Drones espions et guerre hybride : la Belgique face à une nouvelle menace économique
Des drones planent au-dessus des bases militaires belges et de notre aéroport national. Et rappelons-le : la Belgique gère, via la société Euroclear, 185 milliards d’euros d’avoirs russes gelés. Difficile d’y voir une simple coïncidence. La guerre hybride s’invite désormais dans notre économie — silencieuse, mais terriblement coûteuse comme comme nous l’explique Amid Faljaoui, directeur du magazine économique Trends-Tendances. Ces derniers jours, des drones non identifiés ont survolé plusieurs bases militaires belges et l'aéroport de Bruxelles, provoquant l'annulation de vols, des passagers bloqués et plaçant le gouvernement en alerte maximale. Face à cette menace inédite, 50 millions d'euros ont été débloqués en urgence pour renforcer la protection du territoire. La Défense va ainsi acquérir des fusils anti-drone et des brouilleurs électroniques. Cette affaire révèle que le drone est devenu une variable économique majeure. Depuis la guerre en Ukraine, il s'impose comme un acteur central : outil d'espionnage, de surveillance, voire d'intimidation, comme on le constate aujourd'hui en Belgique. Lorsqu'ils rôdent au-dessus d'un aéroport, ces appareils peuvent paralyser une économie entière. Chaque minute de fermeture coûte des centaines de milliers d'euros. Le drone représente donc un risque économique majeur, une faille dans un système basé sur la vitesse et la continuité. Interrogé par L'Echo, le PDG de DroneShield, Oleg Vornik, estime qu'un aéroport pourrait être entièrement sécurisé pour 5 à 10 millions d'euros en combinant radars spécialisés, capteurs radio, caméras et intelligence artificielle. « L'investissement serait rentabilisé dès la première attaque évitée », affirme-t-il. Le coût total d'un tel dispositif équivaut à celui d'une seule fermeture d'aéroport, un argument évidemment favorable à son entreprise, mais révélateur de la logique économique actuelle. La Belgique part de très loin en matière de détection. Ses radars, conçus pour détecter les avions de ligne, ignorent souvent les petits engins en plastique. Les capteurs radio se perdent dans le bruit des fréquences Wi-Fi, 4G ou 5G. Résultat : les drones passent littéralement sous les radars. Cette vulnérabilité technique expose le pays à des risques économiques considérables, alors que la protection des infrastructures devient cruciale. Ces survols rappellent que la sécurité n'est plus une dépense, mais un investissement. Protéger nos aéroports, ports ou centres de données, c'est aussi protéger la fluidité de l'économie, la réputation du pays et la confiance des investisseurs. À Bruxelles, l'enjeu est encore plus stratégique : la Belgique gère près de 185 milliards d'euros d'avoirs russes gelés via Euroclear, une position qui fait grincer des dents à Moscou. Ces survols de drones ressemblent à une manière pour la Russie de narguer la Belgique sur son propre territoire. À l'heure où un simple drone peut clouer un pays au sol, les fusils anti-drone et les brouilleurs ne sont plus des gadgets futuristes. Ils deviennent les nouveaux garde-fous de notre économie. Une réalité que peu auraient imaginée il y a encore quelques mois, mais qui s'impose désormais comme une priorité stratégique pour la sécurité économique du pays. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chronique économique
Le budget fédéral belge à un jour de la catastrophe ?
Le budget fédéral est littéralement suspendu à un fil. Et, au bout du fil, la date butoir du 6 novembre, donc demain jeudi. Le Premier ministre, Bart de Wever avance dans un vent politique contraire de plus en plus fort. Depuis plusieurs jours, le Premier ministre tente désespérément de boucler ce fichu budget fédéral. Mais chaque pas devient de plus en plus incertain. Hier encore, le kern, c’est-à-dire le cœur du gouvernement, s’est séparé sans la moindre avancée. Et une source parle carrément d’une crise totale. Résultat, on n’est pas à l’abri d’une visite du Premier ministre chez le Roi jeudi. Tout tient à un chiffre : 22 C’est le nouveau taux de TVA que Bart de Wever veut instaurer : une hausse de 21% à 22%. Une mesure simple, mais qui rapporterait beaucoup, plusieurs milliards d’euros, pour justement combler les 10 milliards d’efforts budgétaires que nous réclame la Commission européenne. Mais du côté du MR, pour le moment, c’est un nom ferme et définitif, un nom clair et net. Georges-Louis Bouchez refuse toute nouvelle taxe. Pour lui, la Belgique étouffe déjà sous les impôts. Et ses partenaires, pour le moment, s’arrachent les cheveux. Tension maximale Une source proche des négociations le dit sans détour : Bouchez rêve d’une révolution tatchérienne que personne, pour le moment, autour de la table, ne veut. Bref, la tension est au maximum. Les socialistes flamands, eux, refusent de gêner l’indexation des salaires. Les libéraux, comme je viens de le dire, refusent d’augmenter la TVA. Et la N-VA, qui voulait boucler les réformes avant la fin de l’année, elle, s’impatiente. Résultat, plus personne ne bouge. Et pourtant, l’échéance approche, c’est demain. Sans accord, le pays passera en mode douzièmes provisoires Cela signifie que, chaque mois, l’État ne pourra dépenser qu’un douzième du budget de l’an dernier. Autrement dit, plus aucune marge de manœuvre, plus de réformes possibles et un déficit qui continuera de se creuser. C’est là le paradoxe. Bart de Wever, qui voulait redresser les comptes publics, risque de commencer 2026 avec un budget au ralenti et donc un État en mode pause, comme c’est le cas aujourd’hui, alors que les dépenses explosent et que la dette dépasse déjà les 105% du PIB. Tout va sans doute se jouer ce mercredi. Bart de Wever a relancé une tournée de bilatéral pour tenter d’éviter la chute. Mais les positions, pour l’instant, sont figées et l’accord paraît de plus en plus improbable. En résumé, on a un pays qui se bat sur un point de TVA, un gouvernement en apnée à la veille de sa deadline et une économie qui, elle, attend qu’on arrête de jouer avec le calendrier. Est-ce que le gouvernement trouvera une issue avant vendredi ? Peut-être mais, à ce stade, ce serait sans doute un petit miracle. Et en politique belge, vous le savez, les miracles n’arrivent jamais à l’heure. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chronique économique
Ce n’est pas une histoire de fast-food, mais une histoire de pouvoir
Depuis le 2 avril dernier, les États-Unis ont décidé de renforcer leur protectionnisme. En clair, taxer davantage les importations pour relocaliser la production. Sur papier, tout ça semble logique mais, sur le terrain, ça crée des tensions, des réactions et parfois même des effets boomerangs. Premier effet boomerang, le soja. Pendant des années, le soja américain partait massivement vers la Chine. C’était d’ailleurs le principal débouché des agriculteurs du Midwest. Lorsque Washington a relevé ses droits de douane, la Chine a riposté. Elle a réduit ses achats de soja et s’est tournée vers le Brésil et l’Argentine. Résultat, les producteurs américains ont perdu leurs meilleurs clients et la Chine, elle, a renforcé sa présence économique en Amérique du Sud. Deuxième effet boomerang, les terres rares, ces métaux essentiels aux batteries de voitures électriques, aux éoliennes, aux smartphones et à l’industrie automobile. La Chine contrôle 90% de leur raffinage mondial. Donc quand elle restreint les exportations de terres rares, les États-Unis découvrent qu’ils ont non seulement délocalisé bien plus que leurs usines, ils ont délocalisé leur dépendance ou leur indépendance technologique. Washington veut aujourd’hui reconstruire une filière locale, mais ça va prendre des années et ça coûtera très très cher. Troisième effet boomerang, le bœuf. Les États-Unis envisagent aujourd’hui de taxer à nouveau certaines importations de bœuf, notamment brésilien, pour protéger leurs éleveurs. Ce scénario n’est pas encore une réalité, même si on en parle beaucoup, c’est comme une sorte d’épée de Damoclès : si la production locale ne suit pas, la conséquence sera prévisible. On aura des prix plus élevés pour les consommateurs américains et des tensions sur la chaîne alimentaire. Ces trois exemples racontent la même histoire : l’Amérique veut redevenir indépendante, mais elle mesure le prix du retour à l’autonomie après des décennies de dépendance mondiale. Et cette reconquête se paye parfois à la pompe, parfois au supermarché, parfois dans le repas du midi… Et l’Europe dans tout ça ? L’Europe n’est pas à l’abri. Nous dépendons encore d’autres pour l’énergie, les médicaments, les batteries, et même pour certains produits alimentaires. Nous voulons tous produire localement, mais sans hausse de prix. Nous voulons l’indépendance, mais sans effort. Or, dans un monde où tout (du gaz au blé, des métaux aux microprocesseurs) devient une arme d’influence, cette illusion ne va pas tenir très longtemps. Bientôt, on aura le même choix que les Américains : payer un peu plus cher pour redevenir maître de notre avenir, ou continuer à dépendre des autres pour ce que nous mangeons, ce que nous consommons… L’indépendance, elle ne se proclame pas, elle se construit. Et parfois, elle se paye au prix fort, même entre deux tranches de pain. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chronique économique
OpenAI développe une IA pour la finance : le projet secret Mercury se dévoile
Souvenez-vous, dans "Wall Street", le film culte de 1987, l'acteur Michael Douglas incarnait une sorte de super méga-trader sans foi ni loi, symbole supposé d'une époque où la cupidité était une vertu et où la finance était un sport de combat. Quasiment 40 ans plus tard, la morale n'a toujours pas triomphé sauf que c'est la technologie qui a pris le pouvoir. Et cette fois, la menace ne vient pas d'un trader sans scrupules mais d'une intelligence artificielle entraînée par d'anciens banquiers d'affaires eux-mêmes. L'agence d'information financière Bloomberg a révélé qu'OpenAI, la maison mère de ChatGPT, avait recruté plus de 100 ex-banquiers pour former une intelligence artificielle baptisée Projet Mercury. Quelle est la mission de ces anciens banquiers? Apprendre à la machine à exécuter les tâches que les jeunes banquiers d'affaires mettaient parfois des années à maîtriser.  Ces banquiers retraités sont payés 150 dollars de l'heure pour transmettre à la machine ce qui faisait jadis la valeur d'un junior. En clair ils sont en train de coder la fin de leur métier. Pour les banques, c'est vrai qu'à court terme, la tentation sera irrésistible. Une IA qui travaille jour et nuit, sans erreur, ni salaire fixe, capable de produire en quelques minutes des analyses qu'un humain devait livrer en plusieurs jours, c'est un petit peu le rêve, non? Mais cette efficacité a un prix. C'est vrai que cela détruit la filière de formation qui fabriquait les futurs associés, les futurs directeurs et les futurs partenaires. Les analystes bancaires étaient des apprentis, c'est vrai, mais ici, l'IA, l'intelligence artificielle, les transforme en simples superviseurs. Dans un monde sans apprentis, il n'y a plus de maître, et donc le rêve des uns devient le cauchemar des jeunes banquiers. Et ce que fait OpenAI à Wall Street, d'autres le font déjà dans d'autres secteurs, dans le secteur du conseil, de l'audit ou dans le juridique. Automatiser les tâches d'entrée pour gagner en vitesse. La vitesse, sans la transmission du savoir, elle crée quoi? Elle crée un système brillant, mais creux. C'est une économie où l'expertise va se dissoudre, où la mémoire du métier s'efface au profit du calcul. Et c'est une économie où les dirigeants devront apprendre à gérer non plus des équipes, en chair et en os, mais des modèles d'IA entraînés sur la connaissance de ceux qu'ils auront remplacés. L'ironie ultime de toute cette histoire, c'est que les grandes banques risquent d'être disruptées par ce projet Mercury, alors qu'elles figurent directement, ou indirectement aussi, parmi les investisseurs qui ont financé OpenAI ou ses partenaires. Autrement dit, et c'est ça le paradoxe, les banques américaines ont payé pour concevoir la machine qui finira par détruire, si ce n'est renier, leur propre modèle économique. Une belle leçon de capitalisme comme nous l'explique Amid Faljaoui : quand l’intelligence sert la cupidité, la cupidité finit par avaler l’intelligence. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chronique économique
Rencontre Trump et Xi Jinping : affrontement du réel contre le virtuel
Trump et Xi Jinping se sont donc revus à Séoul. Sur le papier, c’était une rencontre pour apaiser les tensions commerciales entre les deux plus grandes puissances de la planète. Dans les faits, c’était un bras de fer beaucoup plus profond qui s’est déroulé sous nos yeux. Pas une guerre de mots, mais une guerre de matière première. Ce que Xi Jinping sait depuis 20 ans, Trump vient seulement de le comprendre. L’intelligence artificielle ne vit pas dans le cloud, elle vit dans la roche. Pendant que l’Amérique rêvait de start-up, la Chine, elle, creusait des mines en Afrique et ailleurs. Pendant que la Silicon Valley parlait de codes et d’algorithmes, Pékin parlait de cuivre, de lithium et de néodyme. Résultat, aujourd’hui, la Chine contrôle plus de 90% du raffinage mondial des métaux rares. Et sans ces métaux, rien ne marche. Il n’y a pas de batterie, pas de semi-conducteur, pas d’éolienne, pas d’intelligence artificielle. La Chine a patiemment verrouillé toute la chaîne. Extraction, transformation et même logistique. Les États-Unis s’en sont rendu compte un petit peu tard. Aujourd’hui, les conseillers économiques de Trump parlent d’un retour à la matérialité, autrement dit : sans matières premières pas de puissance. D’ailleurs l’Amérique veut rouvrir des mines, reconstruire des raffineries, relocaliser la production. Mais il faudra des années et des années pour combler le retard. Pendant ce temps, Pékin continue de livrer, d’interrompre, puis de relivrer ses métaux rares selon ses intérêts personnels. Ce retour du réel, de la matière première, c’est plus qu’un virage géopolitique, c’est un rappel pour toutes les économies occidentales. Depuis 30 ans, on a glorifié le virtuel, le marketing, les idées, la data, mais on a oublié la base physique du business : l’énergie, les matières premières, la production. La solidité d’un modèle économique ne se mesure pas à la beauté d’un pitch, mais à la robustesse d’une production. La Chine a compris que la puissance se construit d’abord dans la matière première et c’était ça le vrai sujet de ce face-à-face, et dont on a très peu parlé dans les médias. La bataille ne se joue plus sur les écrans, mais sous terre, entre ceux qui possèdent les ressources et ceux qui en dépendent. C’est vrai, on peut rêver d’un monde numérique propre et intelligent, mais pour qu’il fonctionne, il faudra toujours du cuivre, du lithium, du cobalt, du fer. La technologie change, mais la géologie, elle, ne bouge pas. Et c’est peut-être la grande leçon de ce sommet. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chronique économique
Stellantis : comment Carlos Tavares défend ses 30 millions malgré l'effondrement
Peut-on encore parler de mérite quand un patron gagne 30 millions d'euros ? Carlos Tavares, le patron de Stellantis, pense que oui et il le défend dans un livre avec des arguments d'une efficacité chirurgicale. Mais derrière la logique, il y a un malaise. Et c'est ce qu'on va explorer avec Amid Faljaoui, directeur du magazine économique Trends Tendances. Carlos Tavares incarne sur le papier la réussite industrielle française : il a redressé PSA, orchestré la fusion avec Fiat Chrysler et créé Stellantis. Mais la réalité est plus contrastée : les résultats boursiers se sont effondrés, les marges se sont rétractées et la promesse du dirigeant performant s'est fissurée. Tavares a fait gagner beaucoup d'argent à court terme à ses actionnaires, mais leur en a fait perdre beaucoup plus. Pourtant, dans ses interventions médiatiques et son livre récent, tout semble rester sous contrôle selon sa version des faits. Il a partagé trois arguments parfaitement huilés pour imposer sa vision des choses. "Mon salaire dépend à 90% des performances de l'entreprise", avance Carlos Tavares pour légitimer son bonus de plus de 30 millions d'euros. Cette logique suggère qu'il n'est pas rémunéré pour sa simple fonction, mais pour ses résultats concrets. Sauf que la performance dont il parle, c'est celle du cours de bourse, pas celle des salariés ni celle de l'innovation à long terme. Tavares a dopé les marges à court terme, coupé dans les coûts et ralenti les investissements. Si le cours de bourse a effectivement grimpé temporairement, c'était au détriment de l'avenir de l'entreprise. Aujourd'hui, Stellantis a perdu plus de la moitié de sa valeur depuis son pic. "C'est une transaction", explique Carlos Tavares au micro de France Inter, comparant sa rémunération à celle d'un footballeur. Selon lui, il existe un contrat entre deux parties qui fixe un prix de marché. Cette comparaison ne tient pas. Un footballeur dépend exclusivement de son talent individuel et voit sa carrière s'arrêter en cas de blessure. Un patron comme Carlos Tavares dépend d'un écosystème entier. Son succès n'est donc pas seulement individuel mais profondément collectif. Sans la société environnante, pas d'usine, pas de clients, pas de marché. "Si vous n'êtes pas d'accord, changez les lois", lance Carlos Tavares pour clore le débat. Cette stratégie rhétorique déplace la discussion morale vers le terrain politique, sachant que la probabilité de modifier la législation reste quasi nulle. Le dirigeant ne nie pas la colère suscitée par sa rémunération, mais la neutralise en la transformant en impuissance logique. Carlos Tavares demeure sans doute un excellent stratège industriel, mais ses méthodes ont montré leurs limites. Les actionnaires ont découvert après coup qu'il n'avait pas préparé l'avenir de Stellantis et s'était contenté d'être un gestionnaire de coûts efficace à court terme. La véritable interrogation ne porte pas sur le montant de sa rémunération, mais sur la vision court-termiste du conseil d'administration. Pourquoi n'a-t-il pas lié le paiement des bonus à des résultats sur le long terme ? --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chronique économique
Porsche recule sur l'électrique face à l'effondrement de ses profits
Vous pensiez que Porsche roulait les yeux fermés vers l'avenir ? Raté. Entre baisse des ventes, coûts explosifs et virage électrique trop serré, la marque vient de découvrir les limites de sa stratégie. On en parle, calmement… mais sans frein à main avec Amid Faljaoui, directeur du magazine économique Trends Tendances. Porsche vient d'annoncer des chiffres qui ont fait tousser les marchés : 40 millions d'euros de bénéfices opérationnels seulement sur les 9 premiers mois de 2025 contre plus de 4 milliards un an plus tôt. Porsche, un symbole de performance et de rentabilité, vient donc de caler. Depuis plusieurs années, Porsche affiche des ambitions vertes : électrifier la gamme avec un objectif de 80% de voitures électriques d'ici 2030. Sur le papier, tout collait effectivement, la réglementation européenne, les investisseurs, mais la route est devenue plus glissante que prévu. Les ventes de Porsche ont reculé en Chine et ont été plombées par les 15% de droits de douane aux États-Unis. Les clients n'ont pas encore adhéré massivement à l'électrique. Ils aiment toujours le bruit, la vibration, bref le caractère. Face à ces constats, Porsche a donc décidé de revoir sa copie. Les futurs modèles Macan et Cayenne auront à nouveau des versions thermiques et hybrides tandis que le projet d'un grand SUV 100% électrique est mis de côté. Et un nouveau patron, Michael Leiters, l'ancien patron de McLaren, prendra le volant début 2026 pour remettre de l'ordre dans la stratégie. C'est un virage prudent mais assumé d'autant que le contexte politique change lui aussi. L'Allemagne évoque déjà la possibilité de revoir l'interdiction du moteur thermique qui est prévue pour 2035. Aux États-Unis, Donald Trump a clairement ralenti le soutien aux véhicules électriques. Porsche n'abandonne pas la transition mais sa direction admet que celle-ci coûte plus cher et prend plus de temps que prévu et qu'elle exige une demande beaucoup plus solide de la part des clients. Porsche adapte donc la stratégie sans renier la direction. L'histoire est intéressante parce qu'elle montre qu'il n'y a pas de plan parfait. Porsche a perdu un petit peu de sa superbe cette année, mais c'est peut-être le prix à payer pour retrouver demain la stabilité et la vitesse juste. Mots-clés : marque mythique, légende, erreur stratégique, trajectoire, pertes, symbole, performance, rentabilité, dieselgate, zéro émission, chancelier, Friedrich Merz, marge, équilibre, réalisme économique --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chronique économique
Comment Netflix et Amazon alimentent la montée du populisme en Europe
Et si le succès des partis populistes n'avait rien à voir avec l'immigration ou la mondialisation… mais avec Netflix et Amazon ? Et si la colère politique naissait d'une frustration beaucoup plus intime : celle d'un citoyen habitué à ce que tout fonctionne, tout de suite ? Nous vivons dans un monde où Deliveroo livre plus vite qu'un service public ne répond. Et ce décalage entre la vitesse du privé et la lenteur du collectif crée une rage nouvelle : celle d'un consommateur devenu électeur impatient. C'est ce que nous explique Amid Faljaoui, directeur du magazine économique Trends Tendances. Le capitalisme numérique a révolutionné nos vies en moins de deux décennies. Repas livrés en quinze minutes, films accessibles sans quitter son canapé, achats livrés le jour même. Cette transformation s'est accélérée depuis 2007, année de lancement du premier iPhone, créant une génération habituée à la satisfaction immédiate. Cette culture de l'instantané a modifié notre perception du monde et instauré un réflexe de comparaison permanente. Le problème surgit quand cette logique du "tout, tout de suite" rencontre des domaines où elle ne peut s'appliquer : l'administration, la santé, l'école ou la justice. Face à la fluidité d'une application, l'administration qui met des semaines à répondre paraît archaïque et le citoyen se transforme alors en consommateur frustré. Pourtant, l'État ne fonctionne pas comme Amazon. Il ne peut exclure les plus fragiles et doit garantir l'équité, même si cela implique parfois de la lenteur. Cette inadéquation entre nos attentes numériques et la réalité des services publics génère une frustration inédite. Nos cerveaux, reprogrammés par l'économie du numérique, réclament des résultats immédiats et un "service après-vente citoyen". Le gouvernement n'est pas devenu moins efficace qu'avant, mais le secteur privé est devenu "miraculeusement efficace". Cette comparaison permanente alimente la frustration du "rien ne marche plus". Les discours politiques radicaux exploitent habilement cette frustration. Quand un candidat promet de gérer le pays comme une entreprise, il active un "réflexe pavlovien" : nous voulons que la société fonctionne comme notre application préférée. Le populisme ne naît donc pas uniquement de la pauvreté, mais aussi d'une trop grande habitude du confort. Cette analyse invite à une réflexion plus profonde sur nos attentes démocratiques. Nous évoluons désormais dans un double monde : un secteur privé qui anticipe nos besoins et un secteur public qui reste "lent, humain et parfois bancal". C'est ce contraste qui nourrit une partie des tensions politiques contemporaines. Mots-clés : attente, poste, file, queue, guichet, éditorialiste, Financial Times, éditorialiste, test, grande ville, beauté, richesse, doute permanent, quartier, comparaison, vêtement, logement, vie, choix infini, droit, abondance, impatience, géants du numérique, dopamine, satisfaction immédiate --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chronique économique
Richesse ou pauvreté : lequel est le plus scandaleux ?
Pour les catholiques, le scandale, c'est la richesse. Et pour les protestants, le scandale, c'est la pauvreté. Cette phrase de Jacques Attali résume à elle seule des siècles de malentendus entre l'Europe et l'argent. Nous avons là deux visions du monde, deux manières de juger la réussite et, quelque part, deux façons de gouverner. Dans la première, inspirée de la tradition catholique, la richesse reste chargée de soupçons moraux. Dans la deuxième version, héritée du protestantisme, la prospérité est au contraire un signe de vertu. La réussite économique prouve la discipline, le travail, la rigueur morale. Donc l'Europe, façonnée par des siècles de culture catholique, a gardé ce malaise discret avec l'argent. On admire les entrepreneurs, mais à distance. On valorise la réussite, à condition qu'elle reste modeste. Aux Etats-Unis, c'est absolument l'inverse. On voit dans la fortune la preuve que les forts payent et non pas qu'ils corrompent. Voilà que ce vieux débat ressurgit à un moment où justement les finances publiques dérapent. Les gouvernements, pressés de trouver de l'argent, regardent évidemment du côté des plus aisés. Taxe sur la plus-value, taxe sur les millionnaires en Belgique, ou impôts sur la fortune, ou encore taxe Zucman en France, et j'en passe. Les mots changent mais l'idée reste la même : faisons payer ceux qui ont réussi. La tentation morale est très forte, mais la réalité économique, elle, est plus subtile. Car les riches d'aujourd'hui ne sont plus forcément des rentiers. Ce sont souvent des entrepreneurs, des ingénieurs, des créateurs de valeur. Et dans un monde où tout circule (les idées, les capitaux, les talents, trop taxés), c'est parfois pousser la richesse à s'exiler. Dans sa vidéo, Jacques Attali a raison sur un point essentiel : la richesse, quand elle est honnêtement gagnée, doit être applaudie et pas suspectée. Mais encore faut-il qu'elle circule, qu'elle finance, qu'elle serve. Car une richesse qui ne sert qu'à grossir n'alimente plus la société, elle la fige, au contraire. En réalité, aujourd'hui, le vrai scandale, ce n'est ni la richesse ni la pauvreté, c'est la rupture de confiance. Les classes moyennes pensent que les riches ne payent plus, en tout cas plus assez. Et les riches pensent qu'on les punit pour avoir réussi. Résultat final, chacun se replie et plus rien ne circule. Peut-être que le vrai défi aujourd'hui n'est plus de choisir entre morale et économie, mais de réconcilier les deux : accepter que la richesse, quand elle crée, partage et inspire, puisse devenir un levier de progrès et pas un motif de culpabilité. Parce qu'une société qui apprend à aimer la réussite, en tout cas au sens noble du terme, n'est pas nécessairement une société égoïste comme on le pense trop souvent, c'est plutôt une société qui croit encore en son avenir. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chronique économique
L’IA, futur roi du commerce : vers la disparition des supermarchés ?
Le commerce change de camp. Demain, les enseignes ne seront plus les vitrines, mais les figurants. La décision d’achat ne se prendra plus dans un magasin, mais au cours d’une conversation avec une intelligence artificielle. Cette révolution silencieuse pourrait bouleverser en profondeur le rapport de force entre fabricants et distributeurs. Une chronique d’Amid Faljaoui qui raconte comment l’IA pourrait, à terme, avaler les supermarchés. Imaginez : vous ne tapez plus "meilleure crème hydratante" sur Google, mais vous demandez à ChatGPT : "Trouve-moi une crème bio et pas trop chère." En une seconde, l’IA vous répond, et vous constatez qu’il n’y a eu ni publicité, ni rayon à parcourir, ni comparaison à faire. Cette réponse simple et immédiate est terriblement dangereuse pour les distributeurs. Pendant des décennies, ce sont les distributeurs qui ont décidé de ce que vous voyiez : les produits mis en avant, les prix affichés, le parcours client. Les fabricants, eux, devaient supplier pour obtenir un rayon, un peu de visibilité. Mais pour la première fois depuis les années 1960, les fabricants peuvent reprendre la main sur la relation client — et donc retrouver une partie de leurs marges. Pour les distributeurs, ce sera un séisme. Leur pouvoir reposait sur deux piliers : la visibilité et la proximité. Or, dans un monde où vous ne voyez plus les rayons et où l’intelligence artificielle choisit pour vous, ces deux leviers s’effondrent. Les fabricants ne sont pas tirés d’affaire pour autant. S’ils échappent aux distributeurs, ils tomberont dans les bras des géants de l’intelligence artificielle, qui deviendront les nouveaux supermarchés invisibles. Ce sont eux qui décideront quels produits recommander, à quel prix et selon quels critères. Et pour être visibles, les marques devront payer. Le commerce de demain se jouera dans la conversation que vous aurez avec votre intelligence artificielle. Vous ne verrez plus les produits : vous les entendrez recommandés par une voix qui connaît vos goûts mieux que vous — et qui, parfois, sans que vous le sachiez, sera rémunérée pour influencer votre choix. La prochaine fois que vous demanderez à votre assistant d’intelligence artificielle : "Quelle lessive est la meilleure pour ma machine ?" , posez-vous une autre question : qui, exactement, a payé pour que l’IA réponde cela ? Mots-clés : Carrefour, Delhaize, Colruyt, relation commerciale, enseigne, intermédiaire, direct-to-consumer, prestataire logistique, OpenAI, Google, Mistral, recommandation --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chronique économique
Baisse des droits d’enregistrement immobilier : à qui profite vraiment l’abattement fiscal ?
Neuf mois après la baisse des droits d’enregistrement, les prix ont bondi de 13% en Wallonie. Les acheteurs n’ont rien gagné, les finances publiques ont tout perdu. La chronique d’Amid Faljaoui qui démonte le mythe du "cadeau fiscal pour les jeunes". Mots-Clés : aide, intention est bonne, Flandre, baisse des droits, hausse des prix, galère, primo acquéreurs, loger, immobilier, loi du marché, psychologie du mental, réduction d’impôt, acheteurs, vendeurs, prix, Covid, maison, jardin, gouvernement, finances publiques, millions d’euros, manque à gagner, région wallonne, économiser, budget, erreur, logements abordables, réduction, vivre, investir, spéculation, construire, offres, marché, politique du logement, bulles, bourse, moralité, histoire, État, région, Père Noël, marché en tension, cadeaux, acheteurs, factures. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock’n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSk Ainsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock’n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLp Et découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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4 weeks ago
3 minutes 18 seconds

Chronique économique
Amid Faljaoui dans sa chronique économique nous dévoile les coulisses des entreprises et passe en revue les grands événements de l'actualité économique. Le directeur du magazine Trends Tendances nous plonge dans l'univers de la bourse, de la finance, des banques, de la BCE, des crises économiques, de tout ce qui fait l'actualité dans notre société comme les GAFA (Facebook, Amazon, Apple, Google), Elon Musk et Twitter, Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, la Banque européenne, le changement climatique, le cours du pétrole, les conflits, Wall Street, l'inflation, les actionnaires, l'argent, le cours de l'euro et du dollar, la vie des patrons et des salariés, des investisseurs, des politiques, l'Union Européenne, les USA, la Chine, le Brexit, les taux d'intérêts, et encore beaucoup d'autres sujets d'actualité. Il débat également autour du prix de l'électricité et du gaz, de la consommation, de la guerre en Ukraine avec Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine, de la hausse et la baisse du prix de l'essence, du diesel et du pétrole, de l'arrivée des voitures électriques, de la délocalisation des entreprises de l'indexation des salaires, de la morosité des marchés, de Donald Trump et des vaccins, etc. La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours sur Classic 21 à 8h30 dans Coffee on the Rocks et à 17h30 dans On The Road Again. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.