Cette semaine dans En avant la Belgique, lumière sur Lovelorn Dolls, un groupe bruxellois à l’univers unique, où le rock gothique flirte avec l’électro, la mélancolie et la poésie visuelle. Formé autour de Kristell Lowagie, chanteuse charismatique à la voix envoûtante, et du compositeur Bernard Daubresse, Lovelorn Dolls façonne depuis plus d’une décennie une signature sonore immédiatement reconnaissable : sombre, élégante, cinématique.

Nourris d’influences comme Evanescence, The Birthday Massacre ou Depeche Mode, ils mêlent l’énergie du rock à la texture de l’électro et à des ambiances visuelles inspirées de l’esthétique gothique, fantastique et romantique. Leurs chansons, portées par des refrains puissants et des arrangements ciselés, parlent de renaissance, de liberté et d’émancipation. Derrière l’obscurité apparente, on découvre une quête de lumière, un besoin de beauté et de sens.

Avec plusieurs albums à leur actif — dont Darker Ages et Deadtime Stories — Lovelorn Dolls a su séduire un public international, fidèle à son univers et à sa sincérité artistique. En 2025, le groupe revient avec de nouveaux titres qui prolongent cette dualité entre ombre et éclat, entre douceur et intensité.

Kristell, par son interprétation habitée, fait vibrer chaque mot comme une confidence. Bernard, par ses compositions, sculpte un paysage sonore d’une rare cohérence. Ensemble, ils créent une musique à la fois viscérale et cinématographique, où l’émotion se marie à l’esthétique.

Fini les platines qui sautent et les cassettes emmêlées, Nostalgie+, c’est le meilleur des 60’s et 70’s sans les caprices d’hier.

Cette semaine dans En avant la Belgique, lumière sur Lovelorn Dolls, un groupe bruxellois à l’univers unique, où le rock gothique flirte avec l’électro, la mélancolie et la poésie visuelle. Formé autour de Kristell Lowagie, chanteuse charismatique à la voix envoûtante, et du compositeur Bernard Daubresse, Lovelorn Dolls façonne depuis plus d’une décennie une signature sonore immédiatement reconnaissable : sombre, élégante, cinématique.

Nourris d’influences comme Evanescence, The Birthday Massacre ou Depeche Mode, ils mêlent l’énergie du rock à la texture de l’électro et à des ambiances visuelles inspirées de l’esthétique gothique, fantastique et romantique. Leurs chansons, portées par des refrains puissants et des arrangements ciselés, parlent de renaissance, de liberté et d’émancipation. Derrière l’obscurité apparente, on découvre une quête de lumière, un besoin de beauté et de sens.

Avec plusieurs albums à leur actif — dont Darker Ages et Deadtime Stories — Lovelorn Dolls a su séduire un public international, fidèle à son univers et à sa sincérité artistique. En 2025, le groupe revient avec de nouveaux titres qui prolongent cette dualité entre ombre et éclat, entre douceur et intensité.

Kristell, par son interprétation habitée, fait vibrer chaque mot comme une confidence. Bernard, par ses compositions, sculpte un paysage sonore d’une rare cohérence. Ensemble, ils créent une musique à la fois viscérale et cinématographique, où l’émotion se marie à l’esthétique.

Fini les platines qui sautent et les cassettes emmêlées, Nostalgie+, c’est le meilleur des 60’s et 70’s sans les caprices d’hier.

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Avec plusieurs albums à leur actif — dont Darker Ages et Deadtime Stories — Lovelorn Dolls a su séduire un public international, fidèle à son univers et à sa sincérité artistique. En 2025, le groupe revient avec de nouveaux titres qui prolongent cette dualité entre ombre et éclat, entre douceur et intensité.

Kristell, par son interprétation habitée, fait vibrer chaque mot comme une confidence. Bernard, par ses compositions, sculpte un paysage sonore d’une rare cohérence. Ensemble, ils créent une musique à la fois viscérale et cinématographique, où l’émotion se marie à l’esthétique.

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Nourris d’influences comme Evanescence, The Birthday Massacre ou Depeche Mode, ils mêlent l’énergie du rock à la texture de l’électro et à des ambiances visuelles inspirées de l’esthétique gothique, fantastique et romantique. Leurs chansons, portées par des refrains puissants et des arrangements ciselés, parlent de renaissance, de liberté et d’émancipation. Derrière l’obscurité apparente, on découvre une quête de lumière, un besoin de beauté et de sens.

Avec plusieurs albums à leur actif — dont Darker Ages et Deadtime Stories — Lovelorn Dolls a su séduire un public international, fidèle à son univers et à sa sincérité artistique. En 2025, le groupe revient avec de nouveaux titres qui prolongent cette dualité entre ombre et éclat, entre douceur et intensité.

Kristell, par son interprétation habitée, fait vibrer chaque mot comme une confidence. Bernard, par ses compositions, sculpte un paysage sonore d’une rare cohérence. Ensemble, ils créent une musique à la fois viscérale et cinématographique, où l’émotion se marie à l’esthétique.

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Nourris d’influences comme Evanescence, The Birthday Massacre ou Depeche Mode, ils mêlent l’énergie du rock à la texture de l’électro et à des ambiances visuelles inspirées de l’esthétique gothique, fantastique et romantique. Leurs chansons, portées par des refrains puissants et des arrangements ciselés, parlent de renaissance, de liberté et d’émancipation. Derrière l’obscurité apparente, on découvre une quête de lumière, un besoin de beauté et de sens.

Avec plusieurs albums à leur actif — dont Darker Ages et Deadtime Stories — Lovelorn Dolls a su séduire un public international, fidèle à son univers et à sa sincérité artistique. En 2025, le groupe revient avec de nouveaux titres qui prolongent cette dualité entre ombre et éclat, entre douceur et intensité.

Kristell, par son interprétation habitée, fait vibrer chaque mot comme une confidence. Bernard, par ses compositions, sculpte un paysage sonore d’une rare cohérence. Ensemble, ils créent une musique à la fois viscérale et cinématographique, où l’émotion se marie à l’esthétique.

Fini les platines qui sautent et les cassettes emmêlées, Nostalgie+, c’est le meilleur des 60’s et 70’s sans les caprices d’hier.

Formation 100 % bruxelloise, Bob Doug s’est imposé comme l’un des groupes rock les plus authentiques de la scène belge. Avec des titres comme Bleu Blanc Belge ou Nightshift, ils célèbrent la belgitude avec humour, énergie et tendresse. Leur son ? Puissant, bluesy, brut — une batterie qui claque, des guitares saturées et des refrains taillés pour la scène.

Leur univers évoque autant les ruelles de Bruxelles que les longues routes américaines. Après des années de concerts et un public fidèle, Bob Doug prépare un album où rock et émotion s’unissent dans un même cri : celui de la liberté, de la dérision et du plaisir pur de jouer.

Fini les vinyles qui sautent au moindre grain de poussière, Nostalgie+, c’est le meilleur des 60’s et 70’s sans les caprices d’hier.

Formation 100 % bruxelloise, Bob Doug s’est imposé comme l’un des groupes rock les plus authentiques de la scène belge. Avec des titres comme Bleu Blanc Belge ou Nightshift, ils célèbrent la belgitude avec humour, énergie et tendresse. Leur son ? Puissant, bluesy, brut — une batterie qui claque, des guitares saturées et des refrains taillés pour la scène.

Leur univers évoque autant les ruelles de Bruxelles que les longues routes américaines. Après des années de concerts et un public fidèle, Bob Doug prépare un album où rock et émotion s’unissent dans un même cri : celui de la liberté, de la dérision et du plaisir pur de jouer.

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Leur univers évoque autant les ruelles de Bruxelles que les longues routes américaines. Après des années de concerts et un public fidèle, Bob Doug prépare un album où rock et émotion s’unissent dans un même cri : celui de la liberté, de la dérision et du plaisir pur de jouer.

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Leur univers évoque autant les ruelles de Bruxelles que les longues routes américaines. Après des années de concerts et un public fidèle, Bob Doug prépare un album où rock et émotion s’unissent dans un même cri : celui de la liberté, de la dérision et du plaisir pur de jouer.

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Étoile montante de la pop électro belge, Perdriya envoûte dès les premières notes. Sa voix aérienne et ses productions éthérées rappellent London Grammar ou Aurora, tout en gardant une identité très personnelle. Ses chansons, entre fragilité et puissance, parlent d’émotions brutes, de lumière et d’ombres intérieures.

Avec des titres introspectifs et une esthétique soignée, Perdriya crée un pont entre la musique électronique et la poésie. Sa pop est une invitation au voyage : intime, vibrante, universelle.

Fini les bandes qui grésillent, Nostalgie+, c’est le meilleur des 60’s et 70’s sans les accrocs d’autrefois.

Étoile montante de la pop électro belge, Perdriya envoûte dès les premières notes. Sa voix aérienne et ses productions éthérées rappellent London Grammar ou Aurora, tout en gardant une identité très personnelle. Ses chansons, entre fragilité et puissance, parlent d’émotions brutes, de lumière et d’ombres intérieures.

Avec des titres introspectifs et une esthétique soignée, Perdriya crée un pont entre la musique électronique et la poésie. Sa pop est une invitation au voyage : intime, vibrante, universelle.

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Avec des titres introspectifs et une esthétique soignée, Perdriya crée un pont entre la musique électronique et la poésie. Sa pop est une invitation au voyage : intime, vibrante, universelle.

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Étoile montante de la pop électro belge, Perdriya envoûte dès les premières notes. Sa voix aérienne et ses productions éthérées rappellent London Grammar ou Aurora, tout en gardant une identité très personnelle. Ses chansons, entre fragilité et puissance, parlent d’émotions brutes, de lumière et d’ombres intérieures.

Avec des titres introspectifs et une esthétique soignée, Perdriya crée un pont entre la musique électronique et la poésie. Sa pop est une invitation au voyage : intime, vibrante, universelle.

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Chaleureuse, intense et lumineuse, Olivia Stone est une voix qui laisse une empreinte. Entre soul, pop et chanson française, elle aborde la féminité, la liberté et l’amour avec puissance et délicatesse. Chaque chanson semble venir du cœur, portée par une interprétation habitée.

Ses influences vont d’Adele à Amy Winehouse, mais Olivia Stone y ajoute sa touche belge : une sincérité sans fard et une élégance toute personnelle. Son univers est une célébration des émotions humaines, entre force et vulnérabilité.

Fini les micros qui grésillent, Nostalgie+, c’est le meilleur des 60’s et 70’s sans les caprices d’autrefois.

Chaleureuse, intense et lumineuse, Olivia Stone est une voix qui laisse une empreinte. Entre soul, pop et chanson française, elle aborde la féminité, la liberté et l’amour avec puissance et délicatesse. Chaque chanson semble venir du cœur, portée par une interprétation habitée.

Ses influences vont d’Adele à Amy Winehouse, mais Olivia Stone y ajoute sa touche belge : une sincérité sans fard et une élégance toute personnelle. Son univers est une célébration des émotions humaines, entre force et vulnérabilité.

Fini les micros qui grésillent, Nostalgie+, c’est le meilleur des 60’s et 70’s sans les caprices d’autrefois.

Chaleureuse, intense et lumineuse, Olivia Stone est une voix qui laisse une empreinte. Entre soul, pop et chanson française, elle aborde la féminité, la liberté et l’amour avec puissance et délicatesse. Chaque chanson semble venir du cœur, portée par une interprétation habitée.

Ses influences vont d’Adele à Amy Winehouse, mais Olivia Stone y ajoute sa touche belge : une sincérité sans fard et une élégance toute personnelle. Son univers est une célébration des émotions humaines, entre force et vulnérabilité.

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Ses influences vont d’Adele à Amy Winehouse, mais Olivia Stone y ajoute sa touche belge : une sincérité sans fard et une élégance toute personnelle. Son univers est une célébration des émotions humaines, entre force et vulnérabilité.

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Ses influences vont d’Adele à Amy Winehouse, mais Olivia Stone y ajoute sa touche belge : une sincérité sans fard et une élégance toute personnelle. Son univers est une célébration des émotions humaines, entre force et vulnérabilité.

Fini les micros qui grésillent, Nostalgie+, c’est le meilleur des 60’s et 70’s sans les caprices d’autrefois.