Le point de départ est mon état d'esprit après presque deux ans de pandémie, enfermé.
Un vrai griffonnage regroupant plein d'affaires. Même moi j'ai de la misère à suivre.
C'est un de ces passages à vide, quand je cherche quelque chose qui n'existe pas encore.
J'ai fusionné deux poèmes pour en faire un. Je commence avec une pensée perdue et je termine dans un hôpital.
L'automne est ma saison d'inspiration. Je ne sais pas pourquoi.
Il est court, mais il raconte bien mon quotidien avec ma femme.
Le fleuve et les paquebots m'inspirent. J'ai donc ramassé tout ça dans une suite d'idées assez chargées.
Ceci n'est pas un poème. C'est une nouvelle fictive fortement inspirée de mon état d'âme en fin de session.
Quand j'ai écrit ça, j'ai mélangé mon souvenir de mon premier reportage filmé par mon grand-père dans ma cave (j'avais 7 ans) et je l'ai confronté à la dure réalité d'un métier sans pitié. C'est douloureux, mais très inspirant!
J'ai été inspiré par les nuits glaciales à 3 du matin, quand je partais travailler pour aller faire mon quart de rédaction matinale. Pour écrire des nouvelles de météo. Je devais bien y mettre un peu d'amour...
J'ai écrit celui-ci il y a 15 ans, mais il devient parfaitement d'actualité dans le contexte du confinement de 2020.
Je me suis amusé avec ma souffrance et l'insertion de mots saccadés
Un clin d'oeil à ma ville, mon fleuve, ma rivière
Je l'ai écrit il y a environ 10 ans...dans un constat du quotidien assez troublant
Introduction du Jardin d'Olivier, un podcast de poésie et de chroniques.