
Dans ce trente-et-unième épisode de Ma Misère est si Belle, je parle de ces moments où tout s’écroule. Ces jours où la vie te met à genoux, sans prévenir. Un diagnostic. Une rupture. Un deuil. Une crise familiale. Ces “avant / après” qui te changent pour toujours.
Je raconte mes propres tempêtes — la maladie de mon père, le départ forcé,l’arrivée soudaine d’un enfant dans ma vie —pas pour faire pleurer, mais pour dire : on peut se relever.Pas vite, pas parfaitement, mais sincèrement.
J’évoque la colère, ce passage obligé avant la paix,la culpabilité de survivre quand d’autres chutent,et surtout ce qu’on apprend :
👉 que l’autonomie n’est pas toujours un choix, mais une nécessité.
👉 que la confiance la plus solide naît souvent de la peur.
👉 que pardonner, ce n’est pas excuser — c’est se libérer.
Cet épisode, c’est une lettre à celles et ceux qui traversent l’épreuve.
Ceux qui tiennent par instinct, qui se reconstruisent en silence, et qui apprennent, jour après jour, à transformer la douleur en sens.
Parce que la vraie force, ce n’est pas d’être invincible.C’est d’avoir eu mal, et d’aimer encore.
👇 Dis-moi en commentaire : quelle épreuve t’a le plus appris sur toi ?
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