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ma misère est si belle
hindbsd
35 episodes
4 days ago
Moi, c'est Hind, et si tu ne sais pas trop comment le prononcer, les copains m'appellent 2-1. Ce podcast, c’est ma safe place, où je mets des mots sur mon vécu et où je partage mes réflexions sur le monde qui m’entoure. Entre récits intimes et grandes questions de société, je t’embarque dans mes pensées – brutes, sincères et sans filtre. Prends une place, on démarre ✨
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Moi, c'est Hind, et si tu ne sais pas trop comment le prononcer, les copains m'appellent 2-1. Ce podcast, c’est ma safe place, où je mets des mots sur mon vécu et où je partage mes réflexions sur le monde qui m’entoure. Entre récits intimes et grandes questions de société, je t’embarque dans mes pensées – brutes, sincères et sans filtre. Prends une place, on démarre ✨
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Episodes (20/35)
ma misère est si belle
Episode 35 : Le regard des autres : comment il construit nos identités

Dans ce trente-cinquième épisode de Ma Misère est si Belle, je te parle d’un sujet qui traverse nos vies depuis l’enfance :
👉 le regard des autres, et la manière dont il façonne nos identités.

Je raconte ce premier regard, celui de la famille et de la culture,
les attentes silencieuses, les rôles qu’on nous attribue avant même qu’on puisse parler, et toutes ces petites phrases qui construisent des façons de se percevoir — parfois pour des années.

Je reviens aussi sur l’école, sur ces moments où tu réalises pour la première fois que ta différence n’est pas neutre, sur les étiquettes qu’on colle aux enfants comme si elles étaient définitives, sur ce besoin de se fondre dans le groupe pour être tranquille, et sur tout ce qu’on abandonne, sans s’en rendre compte, pour être accepté·e.

Je parle ensuite du regard de la société, de ce qu’elle projette sur nos parcours, de ce que ça fait de venir de deux mondes — la banlieue et les grandes écoles — et d’être constamment renvoyée soit à “la réussite”, soit à “l’origine”, comme si l’un annulait l’autre.

Et puis je parle du regard le plus complexe : celui qu’on se porte à soi-même. Celui qui est fait de comparaisons, de doutes, d’anciennes étiquettes avalées trop jeunes, celui qui nous bloque parfois dans des chemins qui ne sont même pas les nôtres. Je raconte comment certaines portes, je me les suis fermées seule parce qu’on m’avait appris à croire que je n’étais “pas faite pour”. Comment les réseaux sociaux amplifient encore ces injonctions. Et comment on peut réapprendre à se regarder avec douceur et lucidité.

C’est un épisode sur l’identité, sur ce qu’on devient quand on est observé, commenté, catalogué, sur les histoires qu’on nous raconte… et celles qu’on peut décider de réécrire.

Ce n’est pas une leçon. C’est une réflexion intime, honnête, parfois brute, pour toutes celles et ceux qui ont passé leur vie à se contourner pour ne pas déranger.

👇 Dis-moi en commentaire : est-ce que le regard des autres a déjà influencé ton chemin ?


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🎵 Music by Ruwin from Pixabay

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4 days ago
9 minutes 56 seconds

ma misère est si belle
Épisode 34 — Être une femme aujourd’hui : liberté sous condition, corps, regards, équité

Dans ce trente-quatrième épisode de Ma Misère est si Belle, je te parle d’un sujet qui traverse nos vies depuis toujours :
👉 ce que ça veut dire, réellement, d’être une femme aujourd’hui.

Je raconte cette liberté sous condition qu’on nous vend depuis petites,
cette impression d’être “libres”… tant qu’on ne dérange pas.
Je reviens sur l’éducation des filles, sur les rôles qu’on nous assigne,
sur les remarques qui façonnent une vie sans qu’on s’en rende compte,
et sur le poids des attentes qui collent à la peau :
être douce mais pas trop, féminine mais pas trop, ambitieuse mais pas trop.

Je parle aussi du corps — du regard qu’on porte dessus,
du regard que les autres portent sur nous,
de ces murs invisibles qu’on rencontre au travail, dans la rue, dans le sport,
et de tous ces moments où simplement exister en femme devient un acte politique.

C’est un épisode sur la fierté de soi,
sur le droit d’être multiple, sensible, puissante, imparfaite, bruyante, silencieuse,
sur la complexité d’être une femme dans un monde qui nous juge autant qu’il nous admire.

Je parle aussi des femmes entre elles,
de cette sororité qu’on apprend, qu’on construit,
et de ce dont on aurait besoin pour vraiment avancer ensemble :
moins de comparaison, plus de tendresse, plus de place.

Ce n’est pas un manifeste.
C’est une lettre — intime, honnête, parfois brute —
à toutes celles qui se débattent entre ce qu’elles veulent être
et ce qu’on attend d’elles.

👇 Dis-moi en commentaire : tu as des anecdotes à partager en tant que femme ?
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🎵 Music by Ruwin from Pixabay


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1 week ago
9 minutes 22 seconds

ma misère est si belle
Épisode 33 — Se construire dans un monde qui ne nous ressemble pas

Dans ce trente-troisième épisode de Ma Misère est si Belle, je parle de ce sentiment que beaucoup d’entre nous partagent : celui d’essayer de se construire dans un monde qui ne nous ressemble pas.

Un monde bruyant, pressé, saturé d’images et de contradictions. 

Un monde qui parle de liberté mais récompense la conformité, qui célèbre la vitesse mais oublie le sens.

Je parle du décalage qu’on ressent face à cette société où tout va trop vite — de la fatigue morale, de la culpabilité du confort, de cette impression d’être lucide dans un monde qui préfère fermer les yeux.

Je parle aussi de cette violence devenue banale, de notre impuissance collective, et de ce besoin de rester humain dans un système qui use tout ce qu’il touche.

Ce n’est pas un épisode pessimiste. C’est une conversation sur la lucidité, la tendresse et la résistance tranquille. Sur la possibilité de continuer à croire, à ressentir, à s’engager — même quand tout semble absurde.

Si toi aussi tu te sens parfois “à côté du monde”, sache que t’es pas seul·e. Ce que tu ressens, c’est pas de la faiblesse : c’est de la conscience. Et c’est peut-être ce qu’il nous reste de plus précieux.

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1 week ago
8 minutes 3 seconds

ma misère est si belle
Épisode 32 — À ceux qui ne sont plus là : apprendre à vivre avec l’absence

Dans ce trente-deuxième épisode de Ma Misère est si Belle, je parle de l’absence — celle qu’on ne comble jamais vraiment. Des absents qu’on continue d’aimer, des voix qu’on entend encore dans nos souvenirs, et de la façon dont on apprend, petit à petit, à vivre avec le vide qu’ils laissent.

À l’approche de la Toussaint, j’avais envie de parler de deuil,mais aussi de tout ce qu’on oublie souvent d’associer à ce mot :

👉 les deuils invisibles, ceux d’une relation, d’un rêve, d’un pays,

👉 la mort devenue contenu, qu’on regarde défiler sans plus ressentir,

👉 et surtout, les gestes simples qui permettent d’honorer sans s’enfermer : écrire une lettre, cuisiner un plat, raconter une histoire, continuer à faire vivre ceux qui nous manquent — autrement.

Cet épisode, c’est une pause. Un moment pour se souvenir sans tristesse, pour rendre hommage à nos absents sans se perdre dans la douleur. Parce qu’ils continuent d’exister tant qu’on les porte, et qu’honorer leur vie, c’est aussi choisir de vivre la nôtre plus pleinement.

👇 Et toi, comment fais-tu vivre ceux qui te manquent ?

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2 weeks ago
8 minutes 54 seconds

ma misère est si belle
Épisode 31 — La vie, ce challenge : transformer les épreuves en force

Dans ce trente-et-unième épisode de Ma Misère est si Belle, je parle de ces moments où tout s’écroule. Ces jours où la vie te met à genoux, sans prévenir. Un diagnostic. Une rupture. Un deuil. Une crise familiale. Ces “avant / après” qui te changent pour toujours.

Je raconte mes propres tempêtes — la maladie de mon père, le départ forcé,l’arrivée soudaine d’un enfant dans ma vie —pas pour faire pleurer, mais pour dire : on peut se relever.Pas vite, pas parfaitement, mais sincèrement.

J’évoque la colère, ce passage obligé avant la paix,la culpabilité de survivre quand d’autres chutent,et surtout ce qu’on apprend :

👉 que l’autonomie n’est pas toujours un choix, mais une nécessité.

👉 que la confiance la plus solide naît souvent de la peur.

👉 que pardonner, ce n’est pas excuser — c’est se libérer.

Cet épisode, c’est une lettre à celles et ceux qui traversent l’épreuve.

Ceux qui tiennent par instinct, qui se reconstruisent en silence, et qui apprennent, jour après jour, à transformer la douleur en sens.

Parce que la vraie force, ce n’est pas d’être invincible.C’est d’avoir eu mal, et d’aimer encore.

👇 Dis-moi en commentaire : quelle épreuve t’a le plus appris sur toi ?

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3 weeks ago
9 minutes 15 seconds

ma misère est si belle
Épisode 30 — Première de la famille : entre fierté, pression et ascension sociale

Dans ce trentième épisode de Ma Misère est si Belle, je te parle d’un rôle que beaucoup connaissent sans jamais vraiment le nommer :
👉 celui de la première de la famille.
La première à faire des études, à quitter le foyer, à changer de milieu social, à ouvrir une porte que personne n’avait pu pousser avant.

Je raconte ce que ça fait d’avancer dans le flou, sans modèle, sans repères, en testant tout pour les autres : l’école, les démarches, les erreurs, les réussites.
Je parle aussi de la pression silencieuse qui accompagne ce rôle — celle de devoir réussir “pour tout le monde”, de prouver que c’est possible, de ne pas fermer la voie derrière soi.

C’est un épisode sur la fierté et l’épuisement, sur les responsabilités qu’on porte trop tôt, sur les frontières sociales qu’on traverse seules, et sur tout ce que ça change quand on vient d’une famille d’immigration ou de classe populaire.

Je partage les coûts, les victoires, les maladresses… mais aussi la beauté de ce rôle : devenir l’architecte de l’histoire familiale, transmettre un terrain plus doux, plus large, plus respirable à ceux qui viennent après.

Parce qu’être “la première”, ce n’est pas qu’une position dans la fratrie — c’est un geste politique, intime, social.
C’est changer un destin, parfois sans même le savoir.

👇 Dis-moi en commentaire : toi aussi, tu as déjà eu l’impression d’ouvrir la route pour les autres ?


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1 month ago
10 minutes 20 seconds

ma misère est si belle
Épisode 29 — Et si nous étions restés au Maroc : Exil, racines et double appartenance

Dans ce vingt-neuvième épisode de Ma Misère est si Belle,je me pose une question que beaucoup d’enfants de l’exil se sont déjà posée :👉 Et si nous étions restés au pays ?

Parce que partir, ce n’est pas juste changer de lieu.C’est changer de vie, de langue, de destin.C’est choisir un avenir en laissant une autre version de soi derrière.

J’imagine l’autre enfance que j’aurais eue au Maroc : les voisins, la chaleur, la famille, les rires, les traditions. Une vie plus simple, peut-être plus ancrée. Mais aussi les contraintes, les attentes, le regard des autres.Et je me demande : qui serais-je devenue ?

Cet épisode, c’est une lettre à cette vie parallèle —celle qu’on n’a pas vécue, mais qu’on porte quand même. C’est aussi un regard sur ceux qui restent, sur cette jeunesse marocaine qui se bat, qui rêve, qui revendique, et sur toutes les familles dispersées entre deux rives.

Je parle de l’exil comme d’un équilibre fragile : entre ce qu’on quitte et ce qu’on garde, entre deux pays, deux langues, deux façons d’aimer.Et de ce moment où on comprend que la liberté, elle n’est pas dans le départ ou le retour, mais dans la manière d’habiter le monde — ici, ou ailleurs.

Ce n’est pas un épisode sur le regret. C’est un épisode sur la réconciliation :celle des cultures, des identités, des héritages. Parce qu’au fond, peut-être que le vrai courage, ce n’est pas de choisir une rive —mais d’apprendre à vivre sur le pont.

👇 Dis-moi en commentaire : toi aussi, tu t’es déjà demandé “et si nous étions restés ?”

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1 month ago
7 minutes 2 seconds

ma misère est si belle
Épisode 28 — Et si mon père n’avait pas été malade ?

Dans ce vingt-huitième épisode de Ma Misère est si Belle, je me suis posé une question simple… et vertigineuse :👉 Et si mon père n’avait pas été malade ?

C’est un épisode plus intime, presque imaginaire.Pas pour réécrire le passé — mais pour regarder ma vie autrement.Pour imaginer ce qu’elle aurait pu être,et surtout, comprendre ce que j’ai appris de ce qu’elle a été.

Je raconte cette version parallèle : celle d’une enfance stable,d’une mère légère, d’un père présent.Puis je parle de la vraie : celle où la schizophrénie s’est installée dans notre maison,où la maladie a tout bousculé,mais aussi tout révélé.

Parce que vivre avec un parent malade,c’est aussi apprendre à voir différemment.À repérer les tempêtes avant qu’elles n’arrivent,à développer une forme de lucidité rare,à aimer sans idéaliser.

Dans cet épisode, je parle aussi du deuil blanc —ce deuil particulier qu’on fait d’un parent qu’on n’a jamais vraiment eu.Et de la société qui, trop souvent, abandonne les familles face à la maladie mentale.

Mais au milieu de tout ça, il reste la lumière.Ce que la douleur transmet malgré elle : la force, la tendresse, la conscience.Parce qu’avec des “si”, on refait le monde.Et parfois, c’est le seul moyen de continuer à le rêver.

👇 Dis-moi en commentaire : toi aussi, tu t’es déjà demandé “et si…” ?

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1 month ago
7 minutes 35 seconds

ma misère est si belle
Épisode 27 — Familles décomposées : Devenir sœurs à l’âge adulte

Dans ce vingt-septième épisode de Ma Misère est si Belle, je te raconte l’une des histoires les plus inattendues de ma vie : celle de ma demi-sœur.
Une sœur dont j’ai longtemps ignoré le visage, l’histoire, la voix… jusqu’au jour où elle m’a écrit.

Je reviens sur cette enfance bancale où les familles se défont, se recomposent, se dédoublent. Sur ce père absent et malade, sur les mensonges et les silences qui façonnent une génération entière, et sur cette autre enfant — née d’une autre histoire — que je ne devais jamais rencontrer.
Et pourtant, un jour, un simple message a tout réouvert.

Je raconte notre première rencontre, ce pique-nique au soleil, cette étrange familiarité entre deux inconnues qui se ressemblent.
Je parle aussi de la culpabilité, des chances inégales, des enfances qui ne se ressemblent pas, et de la beauté d’une rencontre qui ne cherche pas à réparer le passé, mais à accueillir le présent.

Cet épisode, c’est une réflexion sur les familles décomposées, les secrets, les vérités qui protègent, et la possibilité — même tardive — de se choisir comme sœurs.
C’est un épisode sur la réparation douce, sur les liens qu’on invente, sur les histoires bancales qui deviennent enfin vivantes.

👇 Dis-moi en commentaire si, toi aussi, ta famille ressemble à quelque chose d’un peu bancal.
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1 month ago
9 minutes 25 seconds

ma misère est si belle
Épisode 26 — L’intégration : le mot qu’on comprend tous de travers

Dans ce vingt-sixième épisode de Ma Misère est si Belle, je te parle de ce mot qu’on utilise partout, tout le temps, sans jamais vraiment le définir :
👉 l’intégration.

Je raconte ces années où, enfant, j’ai essayé d’être “comme il faut” :
lisser mes cheveux, copier les références des autres, apprendre des codes invisibles qui ne m’appartenaient pas.
Non pas parce que je n’aimais pas qui j’étais…
mais parce que je ne savais même pas encore qui j’étais.

Je parle de l’école comme du premier miroir social :
les blagues qu’on ne comprend pas,
les dessins animés qu’on n’a jamais vus,
les vêtements qui deviennent des frontières,
et ce sentiment d’être toujours un peu “à côté”.

J’évoque aussi les réussites “sur le papier” — études, travail, langue —
et pourtant, ce décalage intérieur
qui persiste tant que le regard des autres ne change pas.
Ces petites phrases anodines qu’on t’adresse avec un sourire,
mais qui rappellent subtilement que tu n’es jamais totalement “comme eux”.

Cet épisode, c’est une réflexion sur le vrai sens de l’intégration :
non pas se conformer, se lisser, s’effacer…
mais coexister, s’ajuster, exister sans s’excuser.

Parce qu’au fond, on ne cherche pas à “s’intégrer”.
On cherche juste à se sentir à sa place,
à être respecté dans ce qu’on est,
à vivre sans devoir se justifier.

Ce n’est pas un épisode sur la différence.
C’est un épisode sur l’appartenance — la vraie.
Celle qui ne demande pas de renoncer à soi.


👇 Dis-moi en commentaire : toi aussi, tu t’es déjà senti·e “entre deux mondes” ?


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2 months ago
8 minutes 15 seconds

ma misère est si belle
Épisode 25 — L’importance de l’entourage : spoiler, on y arrive jamais tout seul

Dans ce vingt-cinquième épisode de Ma Misère est si Belle, je te parle d’un sujet aussi discret qu’essentiel : l’entourage.
Celui qu’on ne voit pas toujours, mais qui soutient, relève, apaise. Celui qui change une vie sans faire de bruit.

Je raconte ce moment où, après le divorce de mes parents, une simple phrase — “Venez” — a tout bouleversé.
Comment une collègue de ma mère nous a hébergés sans poser de questions, et comment ce geste, si simple en apparence, a été notre bouée de sauvetage quand tout s’effondrait. Parce que parfois, ce ne sont pas les institutions qui te tiennent debout, mais une main qui se tend, un canapé, une porte ouverte.

Je parle aussi de l’amitié, celle qui arrive plus tard, plus mature : les messages qui rassurent, les cafés déposés sans un mot, les petites aides logistiques qui, en réalité, valent tout l’or du monde. Et de ce que la famille représente : un noyau, un repère, même quand la vie a été chaotique.

J’explore aussi deux modèles culturels qui m’habitent :
la chaleur marocaine, où l’entourage fait partie de la vie quotidienne, et la pudeur française, qui laisse plus de place à l’individu… mais parfois à la solitude. Entre les deux, j’apprends à trouver mon propre équilibre.

Cet épisode, c’est une manière de dire que personne ne se construit seul. Que derrière chaque force, il y a un soutien, un lien, un regard. Et qu’on est tous, à un moment ou un autre, l’entourage de quelqu’un — même sans s’en rendre compte.

👇 Dis-moi en commentaire : qui a été là pour toi, quand tu en avais vraiment besoin ?

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2 months ago
8 minutes 35 seconds

ma misère est si belle
Épisode 24 — Éduquer sans mode d’emploi : ce qu’on transmet sans le savoir

Dans ce vingt-quatrième épisode de Ma Misère est si Belle, on parle d’un mot qu’on croit connaître : éduquer.

J’ai longtemps cru que l’éducation, c’était une histoire de parents.
Mais depuis deux ans, je vis avec la fille de mon compagnon,
et j’ai compris que l’éducation, c’est avant tout une présence.
Une manière d’être là, chaque jour — à travers les repas, les devoirs, les rires, les disputes, les réconciliations.
Ce n’est pas un statut. C’est un geste, un regard, une parole.

Dans cet épisode, je parle de tout ce qu’on transmet sans le vouloir :
des mots qui marquent, des schémas qu’on reproduit,
des filles à qui on apprend la douceur, et des garçons à qui on apprend la force.

Je parle aussi de la difficulté d’éduquer — de ce qu’on ne dit pas assez :
le courage que ça demande, la patience qu’il faut, la remise en question que ça impose.

Et puis, je parle de l’école.

De ce qu’elle devrait être : un lieu d’équité, pas d’épuisement.
Parce qu’éduquer, c’est pas seulement enseigner.
C’est offrir à quelqu’un la possibilité de se sentir capable, libre, digne.

Cet épisode, c’est un hommage à toutes les personnes qui éduquent sans le dire. Les parents, les profs, les tantes, les beaux-parents, les amis,
tous ceux qui, d’un mot ou d’un regard, changent la trajectoire d’un enfant.


👇 Dis-moi en commentaire : pour toi, c’est quoi, “éduquer” ?

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2 months ago
7 minutes 9 seconds

ma misère est si belle
Épisode 23 — L’horloge sociale : la pression des 25- 30 ans

Dans ce vingt-troisième épisode de Ma Misère est si Belle, je parle d’un sujet que beaucoup connaissent : la pression du temps.
Pas celle des montres ou des deadlines.
Celle qu’on ressent quand le monde commence à nous dire :
“À ton âge, tu devrais…”

J’ai eu 27 ans hier, et je me suis rendu compte que je vivais entre deux horloges.
Celle de ma culture d’origine, où tout doit aller vite — mariage, enfants, stabilité.
Et celle d’ici, plus libre en apparence, mais tout aussi exigeante.
Deux modèles, deux discours, et au milieu : nous.

Je parle de cette pression silencieuse qu’on ressent entre 25 et 30 ans.
Du bruit des attentes : réussir sa carrière, fonder une famille, se “poser”.
Et de ce qu’on ressent quand on décide, simplement, de vivre autrement.

J’aborde aussi ce paradoxe : ne pas avoir d’enfant, mais élever un enfant.
Apprendre que l’amour, la transmission et la maternité ne passent pas toujours par le sang.
Et puis cette idée, plus large :
que la vie n’est pas une liste à cocher, mais une traversée.
Une où chacun avance à son rythme, à sa manière, à son heure.

Si toi aussi tu te compares, si tu doutes,
si tu te dis que tu es “en retard” — cet épisode est pour toi.


👇 Dis-moi en commentaire : toi aussi, tu ressens cette pression du “bon moment” ?


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2 months ago
8 minutes 48 seconds

ma misère est si belle
Épisode 22 — Grandir avec un père malade : sans figure paternelle

Dans ce vingt-deuxième épisode de Ma Misère est si Belle, je parle d’un sujet intime : celui d’un père présent, mais souvent ailleurs.

Je raconte ce que c’est, de grandir à ses côtés sans vraiment le rejoindre.
D’avoir un père assis dans le salon, mais un lien qui vacille.
De comprendre, trop tôt, que l’amour peut exister même quand la maladie le rend maladroit.

Ce n’est pas un épisode sur le manque pur.
C’est une réflexion sur les demi-présences, les gestes qui ne se font pas,
les mots qui restent coincés, et la façon dont on apprend malgré tout à aimer autrement.

Je parle aussi de ce que d’autres figures m’ont transmis —
ma mère, mon grand-père, et plus tard ces hommes capables d’être là, vraiment.
Parce qu’il existe mille façons d’incarner le rôle de père,
et parfois, il faut toute une vie pour en trouver l’équilibre.

Ce n’est pas une histoire de rancune.
C’est une histoire de compréhension.
Et peut-être, quelque part, de réconciliation.

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2 months ago
8 minutes 56 seconds

ma misère est si belle
Épisode 21 — Élever sans être parents : ces liens d’amour qu’on ne nomme pas

Dans ce vingt-et-unième épisode de Ma Misère est si Belle, je parle de ces liens discrets mais puissants — ceux qu’on tisse quand on élève un enfant sans en avoir le titre.

Parce qu’on peut être là, chaque jour, aimer, rassurer, accompagner, sans être “père” ou “mère” sur le papier. Parce qu’on peut faire partie d’une famille sans qu’aucun document ne le dise. Parce qu’il existe des formes d’amour qu’aucun statut ne peut décrire.

Cet épisode, c’est une manière de rendre visible les figures de l’ombre : les belles-mères, les beaux-pères, les tantes, les parrains, les marraines, les amis proches… Tous ceux qui prennent soin, sans reconnaissance officielle, mais avec une présence immense.

C’est une réflexion sur la famille d’aujourd’hui, sur les liens qu’on choisit, sur ce que ça veut dire d’aimer un enfant sans vouloir le posséder. Sur la légitimité, la tendresse, et la force tranquille de ceux qui élèvent sans qu’on les voie.

Parce qu’une famille, ce n’est pas toujours une question de sang — c’est une question de lien. Et parfois, ces liens-là changent tout.

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2 months ago
7 minutes 44 seconds

ma misère est si belle
Épisode 20 — Travail, sens et “grande démission intérieure” : remettre sa vie au centre

Dans ce vingtième épisode de Ma Misère est si Belle, on parle du travail — de ce qu’il prend, de ce qu’il donne, et de ce qu’on veut en faire, pour de vrai.

Je raconte l’héritage des familles où travailler, c’était avant tout survivre, et la fatigue qu’on porte encore aujourd’hui. Je parle de ces jobs qui vident de sens, du stress fabriqué, de la loyauté qu’on accorde trop souvent aux mauvaises personnes, et de cette envie grandissante de remettre de la mesure et du respect dans nos vies.

Ce n’est pas un épisode contre le travail. C’est une réflexion sur ce qu’il représente, sur la place qu’on lui laisse, sur la possibilité de dire “non” sans culpabiliser. Sur cette génération qui ne veut plus se prouver en s’épuisant, mais simplement vivre sans se trahir.

Parce qu’au fond, on ne vaut pas que notre poste, notre salaire ou nos réussites.
On vaut aussi notre douceur, notre humour, notre soin des autres, notre manière d’aimer.

👇 Dis-moi en commentaire : qu’est-ce que toi, tu veux changer dans ta relation au travail ?
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3 months ago
9 minutes 52 seconds

ma misère est si belle
Épisode 19 — Schizophrénie et système médical : quand le soin abandonne les familles

Dans ce dix-neuvième épisode de Ma Misère est si Belle, je te parle d’un sujet dur, mais essentiel : la schizophrénie, et surtout tout ce qu’il y a autour de la maladie.

Parce que la souffrance ne vient pas seulement du trouble en lui-même, mais aussi d’un système médical à bout de souffle, qui laisse les familles seules, impuissantes, épuisées.

Je raconte le parcours de mon père, malade depuis des années, et de ceux qui l’ont accompagné — ma mère, mes frères et sœurs, moi. Je parle de la psychiatrie en France, des rendez-vous de 15 minutes, des traitements livrés sans suivi, de la justice qui ferme les yeux, et de la peur constante de tout voir s’effondrer à nouveau.

Ce n’est pas une accusation.C’est un témoignage.Une façon de dire que la santé mentale n’est pas un luxe — c’est un droit.Et que réclamer un vrai système de soin, c’est un acte d’amour et de responsabilité.

🩺 Si toi aussi tu accompagnes quelqu’un de malade, ou que tu connais ces failles silencieuses du système, sache que tu n’es pas seul·e.

👇 Partage ton expérience ou ton ressenti en commentaire,et prends soin de toi, vraiment.

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3 months ago
8 minutes 32 seconds

ma misère est si belle
Épisode 18 — Lettre à ma mère : hommage à une femme forte

Dans ce dix-huitième épisode de Ma Misère est si Belle, je rends grâce à ma mère — pour son anniversaire.Une lettre d’amour et de reconnaissance à une femme forte, croyante, discrète, qui a tenu nos vies quand tout tremblait.

Je raconte :

  • le courage silencieux d’une mère immigrée qui repart de zéro,

  • le travail invisible (mais essentiel) des femmes,

  • la foi qui relève, la tendresse qui répare,

  • et ce que je lui dois : la dignité, la force, la douceur.

Ce n’est pas qu’un épisode sur la maternité : c’est un hommage à toutes celles et ceux qui portent les autres sans bruit.Si toi aussi tu as un pilier dans ta vie, prends ce moment pour lui dire merci. 💛

👇 Dis-moi en commentaire : quel est ton mot pour la personne qui t’a tenu debout ?💛 Retrouve-moi partout : @mamisereestsibelle🎵 Music by Ruwin from Pixabay


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3 months ago
9 minutes 49 seconds

ma misère est si belle
Épisode 17 — “Voyage humanitaire” ou volontourisme ? Ce que j’ai compris à Bali

Dans ce dix-septième épisode de Ma Misère est si Belle, je reviens sur mon “voyage humanitaire” à Bali à 19 ans.
Enseigner l’anglais, vivre chez l’habitant, “aider”… et puis la réalité : peu d’heures de cours, pas de suivi, des volontaires qui tournent, et la sensation étrange de participer à du volontourisme plus qu’à une aide durable.

Je raconte ce que j’ai vu et compris après coup :

  • la promesse d’“aider” vs. l’impact réel pour les enfants,

  • le privilège du passeport et le décalage économique,

  • la communication “feel good” vs. le quotidien précaire des écoles,

  • la différence entre humanitaire (vrai métier, durée, compétences) et expériences payantes à l’étranger.

Pas pour culpabiliser, mais pour appeler les choses par leur nom.
Parce que parfois, on croit “changer des vies” alors qu’on achète une expérience — et c’est OK de l’admettre pour mieux faire ensuite.

Aujourd’hui, ma définition d’aider a changé : moins d’images, plus de présence. Aider près de soi, au quotidien, sans vitrine.

👇 Dis-moi en commentaire si tu as vécu (ou envisages) une mission à l’étranger : qu’est-ce qui t’a semblé le plus utile, concrètement ?

💛 Retrouve-moi partout sous @mamisereestsibelle
🎵 Music by Ruwin from Pixabay

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4 months ago
11 minutes 43 seconds

ma misère est si belle
Épisode 16 — S’émanciper sans trahir : l’indépendance face à la culpabilité envers sa mère

Dans ce seizième épisode de Ma Misère est si Belle, je te parle d’un amour aussi beau que lourd : celui d’une fille pour sa mère.Et de cette culpabilité invisible qui naît quand on veut vivre pour soi, alors qu’on a été élevée par une femme qui s’est oubliée pour nous.

Je parle de l’amour filial, de l’héritage émotionnel qu’on porte souvent sans s’en rendre compte, et de ce tiraillement entre loyauté et liberté.

Comment grandir sans se sentir coupable ?Comment s’émanciper d’une mère qui n’a pas eu cette chance ?Comment aimer sans s’effacer ?

C’est un épisode sur la dette affective, la force des mères, et la liberté des filles qui essaient d’aimer autrement — sans sacrifier tout ce qu’elles sont.

Parce que vivre, ce n’est pas trahir.C’est honorer.Et peut-être que la plus belle façon de dire merci à nos mères,c’est d’être libres, pleinement.

👇 Dis-moi en commentaire si toi aussi tu ressens cette tension entre amour et indépendance.

💛 Retrouve-moi partout sous @mamisereestsibelle🎵 Music by Ruwin from Pixabay


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4 months ago
11 minutes 56 seconds

ma misère est si belle
Moi, c'est Hind, et si tu ne sais pas trop comment le prononcer, les copains m'appellent 2-1. Ce podcast, c’est ma safe place, où je mets des mots sur mon vécu et où je partage mes réflexions sur le monde qui m’entoure. Entre récits intimes et grandes questions de société, je t’embarque dans mes pensées – brutes, sincères et sans filtre. Prends une place, on démarre ✨