
Dans ce trente-deuxième épisode de Ma Misère est si Belle, je parle de l’absence — celle qu’on ne comble jamais vraiment. Des absents qu’on continue d’aimer, des voix qu’on entend encore dans nos souvenirs, et de la façon dont on apprend, petit à petit, à vivre avec le vide qu’ils laissent.
À l’approche de la Toussaint, j’avais envie de parler de deuil,mais aussi de tout ce qu’on oublie souvent d’associer à ce mot :
👉 les deuils invisibles, ceux d’une relation, d’un rêve, d’un pays,
👉 la mort devenue contenu, qu’on regarde défiler sans plus ressentir,
👉 et surtout, les gestes simples qui permettent d’honorer sans s’enfermer : écrire une lettre, cuisiner un plat, raconter une histoire, continuer à faire vivre ceux qui nous manquent — autrement.
Cet épisode, c’est une pause. Un moment pour se souvenir sans tristesse, pour rendre hommage à nos absents sans se perdre dans la douleur. Parce qu’ils continuent d’exister tant qu’on les porte, et qu’honorer leur vie, c’est aussi choisir de vivre la nôtre plus pleinement.
👇 Et toi, comment fais-tu vivre ceux qui te manquent ?
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