Jean-Claude Botton et Guth DesPrez croisent leurs regards sur le conte, mais aussi sur la manière dont les récits de vie alimentent leurs contes. Il y est question d’une canine d’ours, de détenus polynésiens, et d’un gamin couché le nez dans la crème.
Guth explique pourquoi il a du mal avec l'écriture des contes.
Jihad et Layla Darwiche croisent leurs regards sur le conte, mais aussi sur la transmission intergénérationnelle. Il y est question de rituel, de paroles d’huile et du respect fondamental que l’on doit aux histoires.
Jihad révèle son amour pour un personnage de conte bien précis.
Jihad raconte la manière dont les épopées le nourrissent.
Layla et Jihad parlent de leurs contes fétiches respectifs.
Jérome Bérubé et Paul Bradley croisent leurs regards sur le conte, mais aussi sur la place du réel dans la création d’une histoire. Il y est question de montagnes russes, d’animaux empaillés et de lisser les poils du caribou.
François Lavallée et Joujou Turenne croisent leurs regards sur le conte, mais aussi sur sa transmission en milieu scolaire. Il y est question de territoires suspendus, d’imaginaires hybrides et de l’importance de lancer des balles derrière les murs.
Joujou et François philosophent sur le choix des histoires que l'on raconte.
Stéphane Guertin et Céline Jantet croisent leurs regards sur le conte, mais aussi sur la trajectoire qui les a menés au conte. Il y est question de responsabilité sociale, de frisbees et de surfer sur l’imaginaire en raquettes de babiche.
Stéphane et Céline parlent de la place du collectif dans cet art solitaire qu'est le conte.
Stéphane et Céline spéculent sur leur futur artistique.
Anne Borlée et Catherine Pierloz croisent leurs regards sur le conte, mais aussi sur la place de l’humour dans les contes. Il y est question de la carte 13, de la terre glaise de Sherbrooke et de la charge que portent les contes façonnés par le temps.
Anne Borlée raconte la manière dont les histoires l'accompagnent au quotidien.
Stéphanie Bénéteau et Mike Burns croisent leurs regards sur le conte, mais aussi sur sa capacité de soigner. Il y est question de cercle sacré, de métissage et du besoin universel de se faire raconter des histoires.
Stéphanie Bénéteau raconte un moment de parentalité où elle a tenté d'utiliser le conte pour enseigner quelque chose à sa fille.
Dans la langue norvégienne, il existe trois mots pour dire feu.
Myriam Pellicane témoigne de son lien privilégié avec Didier Kowarsky et de leurs parcours artistiques interreliés, en évoquant les propos de Didier lors d’un tête-à-tête virtuel survenu quelques jours avant sa mort. Il y est question de récits archaïques, de foulards de soie et d’un lit de nuages roux.
Vivian Labrie et Judith Poirier croisent leurs regards sur le conte, mais aussi sur sa place dans la communauté. Il y est question de poupées russes, de soupe au caillou et de la manière dont les contes nous gardent à flot lorsque tout chavire.
Patrick Courtois et Nicole O’Bomsawin croisent leurs regards sur le conte, mais aussi sur la place du conte chez les Premières Nations. Il y est question d’oiseaux-mouches, de sapins de Noël et de la manière dont on revisite la tradition pour tisser des contes d’aujourd’hui.