« Des podcasts courts qui en disent long ! »
Un podcast quotidien, singulier et inédit. Découvrir l’univers des photographes et la photographie
contemporaine pour questionner l’univers de l’image et plus généralement notre monde.
« Parler de photographie sans la montrer, c’est aller au cœur de la création et susciter la curiosité
de l’auditeur. »
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Clément Chapillon (né en 1982) est un photographe basé dans le sud de la France. Son travail explore les mondes méditerranéens dans une écriture empreinte de « réalisme poétique », entre documentaire et imaginaire, en dialogue avec scientifiques, écrivains et musiciens. Après Promise me a Land (Kehrer Verlag, Prix Leica 2017) en Israël/Palestine et Les rochers fauves (Prix Fondation des Treilles 2018) en mer Égée, il poursuit une recherche autour des territoires et de leurs mémoires. En 2025, il crée Matières Sensibles, un laboratoire argentique où il développe une pratique expérimentale et sensible du tirage. Son travail intègre aussi une dimension pédagogique croissante : après un workshop sur l’île de Groix en 2024, il mènera en 2025 des ateliers aux Beaux-Arts d’Aix et avec La Fabrique du Regard. Lauréat d’une bourse du CNAP, il développe actuellement I lost myself in the sea of life autour de la disparition de la mer Morte avec le compositeur Éryck Abecassis.
https://www.clementchapillon.com/
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Clément Chapillon (né en 1982) est un photographe basé dans le sud de la France. Son travail explore les mondes méditerranéens dans une écriture empreinte de « réalisme poétique », entre documentaire et imaginaire, en dialogue avec scientifiques, écrivains et musiciens. Après Promise me a Land (Kehrer Verlag, Prix Leica 2017) en Israël/Palestine et Les rochers fauves (Prix Fondation des Treilles 2018) en mer Égée, il poursuit une recherche autour des territoires et de leurs mémoires. En 2025, il crée Matières Sensibles, un laboratoire argentique où il développe une pratique expérimentale et sensible du tirage. Son travail intègre aussi une dimension pédagogique croissante : après un workshop sur l’île de Groix en 2024, il mènera en 2025 des ateliers aux Beaux-Arts d’Aix et avec La Fabrique du Regard. Lauréat d’une bourse du CNAP, il développe actuellement I lost myself in the sea of life autour de la disparition de la mer Morte avec le compositeur Éryck Abecassis.
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Clément Chapillon (né en 1982) est un photographe basé dans le sud de la France. Son travail explore les mondes méditerranéens dans une écriture empreinte de « réalisme poétique », entre documentaire et imaginaire, en dialogue avec scientifiques, écrivains et musiciens. Après Promise me a Land (Kehrer Verlag, Prix Leica 2017) en Israël/Palestine et Les rochers fauves (Prix Fondation des Treilles 2018) en mer Égée, il poursuit une recherche autour des territoires et de leurs mémoires. En 2025, il crée Matières Sensibles, un laboratoire argentique où il développe une pratique expérimentale et sensible du tirage. Son travail intègre aussi une dimension pédagogique croissante : après un workshop sur l’île de Groix en 2024, il mènera en 2025 des ateliers aux Beaux-Arts d’Aix et avec La Fabrique du Regard. Lauréat d’une bourse du CNAP, il développe actuellement I lost myself in the sea of life autour de la disparition de la mer Morte avec le compositeur Éryck Abecassis.
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Née en 1992, Chloé Sharrock se tourne vers la photographie en 2017, après des études d’histoire de l’art et de cinéma documentaire. Elle développe un travail centré sur les zones d’après-guerres et de conflit, explorant les thèmes de la violence, du traumatisme et de la reconstruction.
Elle réalise des reportages à Gaza, en Irak, en Syrie et plus récemment en Ukraine.
Son travail sur la guerre en Ukraine a notamment été présenté en Allemagne, à la Gaîté Lyrique à Paris et aux Champs Libres à Rennes.
Depuis 2023, le travail photographique de Chloé se développe également dans une dimension plastique, mêlant photo-gravure et dessin à ses archives afin de questionner notre rapport à l’image photo-journalistique.
Membre de l’agence Myop, elle a été récompensée par la Grande commande photojournalisme de la BnF en 2022, deux bourses du CNAP, ainsi que par le Prix Françoise Demulder (Ministère de la Culture / Visa pour l’image) en 2020. En 2025 elle est la nouvelle lauréate de la résidence photographique du Musée de l’Armée, pour son projet « Vestiges de guerre, empreintes de mémoires ».
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Née en 1992, Chloé Sharrock se tourne vers la photographie en 2017, après des études d’histoire de l’art et de cinéma documentaire. Elle développe un travail centré sur les zones d’après-guerres et de conflit, explorant les thèmes de la violence, du traumatisme et de la reconstruction.
Elle réalise des reportages à Gaza, en Irak, en Syrie et plus récemment en Ukraine.
Son travail sur la guerre en Ukraine a notamment été présenté en Allemagne, à la Gaîté Lyrique à Paris et aux Champs Libres à Rennes.
Depuis 2023, le travail photographique de Chloé se développe également dans une dimension plastique, mêlant photo-gravure et dessin à ses archives afin de questionner notre rapport à l’image photo-journalistique.
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Depuis 2023, le travail photographique de Chloé se développe également dans une dimension plastique, mêlant photo-gravure et dessin à ses archives afin de questionner notre rapport à l’image photo-journalistique.
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Ed Alcock, lauréat du Prix Niépce Gens d’Images 2025, est un photographe franco-britannique né en 1974 à Norwich. Récompensé en 1999 par The Guardian et The Independent, il s’installe à Paris en 2000 et devient correspondant pour le New York Times. Il collabore depuis avec la presse internationale (Le Monde, Elle, The Economist, El Pais…).
Membre de l’agence MYOP depuis 2011, il développe une œuvre sensible autour de la famille, de l’identité et du territoire. Ses séries notables incluent Hobbledehoy (avec un récit d’Emmanuel Carrère), Love Lane, Buried Treasure, Home, sweet home (inspiré par le Brexit) ou encore Stérile, chronique de la pandémie. Son travail a été exposé aux Rencontres d’Arles, au Festival La Gacilly, à Portrait(s) Vichy, à KT&G (Séoul) ou au Lentos Museum (Autriche). En 2024, Zones de risque, réalisé dans le cadre de la Grande Commande du BnF, est exposé à la BnF, puis en tournée. Il a également été sélectionné trois années de suite pour l’exposition du Taylor Wessing Photographic Portrait Prize au National Portrait Gallery à Londres.
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Ed Alcock, lauréat du Prix Niépce Gens d’Images 2025, est un photographe franco-britannique né en 1974 à Norwich. Récompensé en 1999 par The Guardian et The Independent, il s’installe à Paris en 2000 et devient correspondant pour le New York Times. Il collabore depuis avec la presse internationale (Le Monde, Elle, The Economist, El Pais…).
Membre de l’agence MYOP depuis 2011, il développe une œuvre sensible autour de la famille, de l’identité et du territoire. Ses séries notables incluent Hobbledehoy (avec un récit d’Emmanuel Carrère), Love Lane, Buried Treasure, Home, sweet home (inspiré par le Brexit) ou encore Stérile, chronique de la pandémie. Son travail a été exposé aux Rencontres d’Arles, au Festival La Gacilly, à Portrait(s) Vichy, à KT&G (Séoul) ou au Lentos Museum (Autriche). En 2024, Zones de risque, réalisé dans le cadre de la Grande Commande du BnF, est exposé à la BnF, puis en tournée. Il a également été sélectionné trois années de suite pour l’exposition du Taylor Wessing Photographic Portrait Prize au National Portrait Gallery à Londres.
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Ed Alcock, lauréat du Prix Niépce Gens d’Images 2025, est un photographe franco-britannique né en 1974 à Norwich. Récompensé en 1999 par The Guardian et The Independent, il s’installe à Paris en 2000 et devient correspondant pour le New York Times. Il collabore depuis avec la presse internationale (Le Monde, Elle, The Economist, El Pais…).
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Née en 1979 en Roumanie, Dana Cojbuc est diplômée des Beaux-Arts de Bucarest. Elle vit aujourd’hui à Paris et est représentée par la galerie Catherine Putman.
Après avoir développé un travail photographique pendant plusieurs années, elle effectue une singulière et sensible transition vers le dessin.
À l’occasion d’une résidence artistique au Sunnhordland Museum en Norvège en 2019, s’est opéré le passage d’une approche purement photographique à une vision dessinée du paysage.
À partir de ses propres tirages Dana Cojbuc extrapole, redéfinit les limites et réinvente le sujet par le dessin. La frontière entre la photographie et le travail au fusain est subtile, mystérieuse, elle ouvre la voie à un paysage imaginaire. Ce prolongement par le dessin agit comme un révélateur du caractère graphique et plastique du paysage réel, dans lequel elle intervient parfois au préalable à la manière d’un artiste du land Art.
https://danacojbuc.net/fr/dana-cojbuc-francais/
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Née en 1979 en Roumanie, Dana Cojbuc est diplômée des Beaux-Arts de Bucarest. Elle vit aujourd’hui à Paris et est représentée par la galerie Catherine Putman.
Après avoir développé un travail photographique pendant plusieurs années, elle effectue une singulière et sensible transition vers le dessin.
À l’occasion d’une résidence artistique au Sunnhordland Museum en Norvège en 2019, s’est opéré le passage d’une approche purement photographique à une vision dessinée du paysage.
À partir de ses propres tirages Dana Cojbuc extrapole, redéfinit les limites et réinvente le sujet par le dessin. La frontière entre la photographie et le travail au fusain est subtile, mystérieuse, elle ouvre la voie à un paysage imaginaire. Ce prolongement par le dessin agit comme un révélateur du caractère graphique et plastique du paysage réel, dans lequel elle intervient parfois au préalable à la manière d’un artiste du land Art.
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Née en 1979 en Roumanie, Dana Cojbuc est diplômée des Beaux-Arts de Bucarest. Elle vit aujourd’hui à Paris et est représentée par la galerie Catherine Putman.
Après avoir développé un travail photographique pendant plusieurs années, elle effectue une singulière et sensible transition vers le dessin.
À l’occasion d’une résidence artistique au Sunnhordland Museum en Norvège en 2019, s’est opéré le passage d’une approche purement photographique à une vision dessinée du paysage.
À partir de ses propres tirages Dana Cojbuc extrapole, redéfinit les limites et réinvente le sujet par le dessin. La frontière entre la photographie et le travail au fusain est subtile, mystérieuse, elle ouvre la voie à un paysage imaginaire. Ce prolongement par le dessin agit comme un révélateur du caractère graphique et plastique du paysage réel, dans lequel elle intervient parfois au préalable à la manière d’un artiste du land Art.
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