La chronique Bien-être / santé de Cécile
La chronique Bien-être / santé de Cécile
Plusieurs recherches montrent que l’heure à laquelle on prend notre premier repas joue sur nos rythmes hormonaux. Manger tôt, entre 6h30 et 8h30, favorise une meilleure régulation de la glycémie, réduit les risques cardiovasculaires, et stabilise le métabolisme
Beaucoup d’adultes ont tendance à dire “Ce n’est rien”, “Tu fais des histoires”, ou “Allez, dors maintenant”. Mais ça ne calme pas l’enfant… au contraire, ça l’isole dans sa peur au contraire on accueille. On peut poser des questions simples : “Tu veux me dire ce qui t’inquiète ce soir ?”, “Tu as vu quelque chose qui t’a fait peur ?” Et parfois, c’est une goutte de peur dans un océan d’émotions qu’il ne sait pas encore nommer.
Trop souvent oublié, le fenouil est une plante aux mille vertus ! Il est particulièrement connu pour ses effets sur la digestion : ballonnements, gaz, lourdeurs après les repas, crampes intestinales… Il soulage tout ça naturellement.
On peut le consommer en graines infusées, en légume cru ou cuit, ou en huile essentielle, à condition d’être bien conseillé. En plus, il est riche en antioxydants et en vitamine C, ce qui renforce aussi notre immunité.
Il faut savoir dire non, c’est se protéger. On dit oui à des réunions qu’on n’a pas le temps de faire, à des invitations qu’on redoute, à des services qui nous épuisent… et à force, on finit vidé. Dire non, c’est un vrai acte de santé mentale.
L’eau permet de réguler le cortisol, l’hormone du stress. Elle favorise aussi la clarté mentale.
Boire régulièrement dans la journée – pas tout d’un coup – maintient le corps et l’esprit dans une meilleure stabilité émotionnelle
En fait, après 40 ans, notre métabolisme ralentit. Les hormones comme la leptine, qui régule la satiété, et l’insuline, qui contrôle la glycémie, deviennent moins efficaces. Résultat : on ressent plus souvent la faim, même après un repas correct.
D’abord une note n’est pas une fin en soi. Ce n’est pas un jugement de valeur, c’est un indicateur de progression.
Ce qu’on doit encourager, c’est l’effort, pas le chiffre.
Amandes pour l’énergie, noix pour le cerveau, pistaches pour les protéines, noisettes pour les antioxydants.
Et puis, une petite poignée d’amandes remplace avantageusement un biscuit industriel.
Les études montrent qu’en manger régulièrement diminue le risque de diabète et de cholestérol
Le cerveau, c’est un organe très exigeant : il pèse à peine 2 % du corps, mais il consomme 20 % de notre énergie. Il adore les bons gras, les antioxydants et les vitamines du groupe B.
Une phobie, c’est une peur intense et irrationnelle. Le corps réagit comme s’il était en danger : le cœur s’emballe, le souffle se bloque, les muscles se tendent. Et pourtant, le danger est imaginaire.
On distingue quatre styles : le sécure, le plus équilibré, capable de faire confiance et de gérer les conflits ; l’anxieux, qui redoute l’abandon ; l’évitant, qui garde ses distances ; et le désorganisé, qui alterne entre les deux.
La lecture développe le vocabulaire, la mémoire, la curiosité, mais aussi l’imaginaire. Un enfant qu’on lit souvent aura plus de facilité à apprendre à parler, à lire, à se concentrer.
tout dépend de notre rythme biologique, de notre âge, et même de nos objectifs. Le matin, notre taux de cortisol est plus élevé : on a de l’énergie, on brûle mieux les graisses, et cela booste le moral pour la journée.
On se fait du bien avec Cécile, émission du 11/2025/10 à 09h26
tout commence dans l’assiette. Pour nourrir notre microbiote, on mise sur les fibres : fruits, légumes, légumineuses, avoine, lentilles, artichauts, poireaux… Ces aliments nourrissent les bonnes bactéries et favorisent la production d’acides gras essentiels pour l’équilibre intestinal.
C’est une activité idéale en automne, car elle relance l’énergie, tout en calmant le mental. Elle améliore la posture, le souffle, l’équilibre… et elle est accessible à tous, même aux personnes qui ne font plus de sport depuis longtemps.
Créez une ambiance apaisante : lumière douce, bougies, une musique tranquille, un bon livre ou un bain chaud. L’idée, c’est de revenir à soi, de couper un peu avec le bruit du monde, de se reconnecter à son rythme intérieur.
Le passage à l’heure d’hiver perturbe notre rythme circadien, cette fameuse horloge biologique interne. Certaines personnes le vivent très bien… d’autres mettent une bonne semaine à s’en remettre
Trois leviers simples. D’abord, la lumière naturelle : sortez dès le matin, même s’il fait gris. Ensuite, évitez le café ou le thé après 15h. Et enfin, gardez un rythme de sommeil régulier, même le week-end. C’est la régularité qui recale l’organisme
En automne, notre corps a besoin de chaleur et de minéraux. Et ça tombe bien : la nature est généreuse en cette saison. Dans votre assiette, privilégiez les légumes racines comme les carottes, panais, navets, patates douces… riches en fibres, en antioxydants, et très rassasiants.
Ce que vous ressentez, c’est ce qu’on appelle la fatigue saisonnière. La lumière du jour diminue, notre corps produit davantage de mélatonine, l’hormone du sommeil… et du coup, on se sent ralenti, parfois un peu triste ou irritable. C’est une réponse tout à fait normale de notre organisme.